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Message de tya posté le 30-09-2014 à 00:48:09 (S | E | F)
Bonjour à tous !
Pourriez vous m'aider à faire une correction de quelques paragraphes dans mon commentaire s'il vous plaît ?
Merci en avance!

Tout d’abord, je remarque qu’il y a plusieurs contrastes dans ce film. Le premier contraste est entre le passé et la vie actuelle. Le refrain que les enfants jouaient avec leurs parents dans le lit s’apparaît plusieurs fois dans ce film, on peut bien sentir la joie et le bonheur par leurs sourires sous le bon éclat de soleil. En revanche, dans la vie actuelle, le café est sombre, l’ambiance entre la famille est tendue et ils ne sont pas la même intime qu’avant. Même parmi les refrains il existe un contraste. Je remarque que le dernier refrain est différent que les autres : il n’y a plus la joie mais le reproche et le peur. Comparé ce refrain à la vie actuelle, je pense que le directeur voudrait nous dire que la douleur peut remplacer la joie facilement si nous ne pouvons pas comprendre mutuellement. Le troisième contraste du film est dans le nom de café Père Tranquille. Dans ce film, il n’y a ni le père ni la tranquillité : le mari de madame s’est décédé depuis longtemps et la famille se fait toujours la dispute dans ce film.

Le directeur a aussi utilisé le procédé du symbole. Dans ce film, Philippe a donné sa femme Yolande un collier comme un cadeau, mais en réalité ce collier est comme une courroie mis au cou pour les animaux domestiques. Ce collier est un symbole de l’obéissance : la parole de Yolande est coupée, sa volonté de danse est refrénée et la quantité de sa boisson est encore limitée par son mari. Elle n’est pas libre. Betty, sœur de Philippe non plus. Parce que son frère et sa mère elle trouve bizarre de ne pas marier à 30 ans. Donc Betty et Yolande ont bu inconsciemment beaucoup comme l’alcool est une consolation, et à l’aide de qui, elles peuvent s’échapper de leur vie. Je pense qu’ici, l’alcool symbolise leur révolte silencieuse envers le contrôle de madame Ménard et Philippe.

Merci!
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Modifié par bridg le 30-09-2014 00:49


Réponse: Correction-commentaire de jij33, postée le 30-09-2014 à 09:19:15 (S | E)
Bonjour tya
Dans un premier temps, il vous faudra corriger ceci :

Tout d’abord, je remarque qu’il y a plusieurs contrastes dans ce film. Le premier contraste est entre le passé et la vie actuelle. Le refrain (s'agit-il du "refrain" d'une chanson ? Si ce n'est pas cela, un autre mot sera plus approprié : pensez au vocabulaire du théâtre...) que les enfants jouaient avec leurs parents dans le lit s’apparaît (supprimer la forme pronominale) plusieurs fois dans ce film,(remplacer la virgule par une ponctuation plus forte) on peut bien sentir la joie et le bonheur par (autre préposition ou locution prépositionnelle) leurs sourires sous le bon éclat de soleil. En revanche, dans la vie actuelle, le café est sombre, l’ambiance entre (autre préposition) la famille est tendue et ils ne sont pas la même (remplacer par un adverbe pour former un comparatif d'égalité) intime (pluriel : se rapporte à "ils") qu’avant. Même parmi les refrains il existe un contraste. Je remarque que le dernier refrain est différent que (on dit "différent de) les autres : il n’y a plus la (remplacer par "de", sans article, et procéder de même avant "reproche" et "peur", qui est un nom féminin) joie mais le reproche et le peur. Comparé (gérondif) ce refrain à la vie actuelle, je pense que le directeur (mieux : réalisateur) voudrait nous dire que la douleur peut remplacer la joie facilement si nous ne pouvons pas (il manque un pronom personnel) comprendre mutuellement. Le troisième contraste du film est dans le nom de (contraction de "de+le") café (ajouter le signe deux-points et faire précéder le nom du café de l'article défini) Père Tranquille. Dans ce film, il n’y a ni le père ni la (les deux articles sont inutiles) tranquillité : le mari de madame (plutôt "la mère") s’est décédé (supprimer la forme pronominale) depuis longtemps et la famille se fait toujours la dispute (verbe se disputer) dans ce film.

Le directeur (autre mot, conseillé plus haut) a aussi utilisé le procédé du symbole. Dans ce film, Philippe a donné (on "offre" un cadeau)(ajouter une préposition) sa femme Yolande un collier comme un cadeau, mais en réalité ce collier est comme une courroie mis (accord avec courroie) au cou pour les ("de+les") animaux domestiques. Ce collier est un symbole de l’obéissance : la parole de Yolande est coupée, sa volonté de danse est refrénée et la quantité de sa boisson est encore limitée par son mari. Elle n’est pas libre. Betty, sœur de Philippe, non plus. (supprimer le point pour ne pas séparer la proposition subordonnée de la principale) Parce que son frère et sa mère elle trouve (il y a deux sujets : frère et mère) bizarre de ne pas marier (infinitif présent passif, en mettant le participe au féminin, puisqu'il s'agit de Betty) à 30 (en toutes lettres) ans . Donc Betty et Yolande ont bu inconsciemment beaucoup comme (introduire la subordonnée par "comme si" et veiller à la concordance des temps des deux verbes suivants) l’alcool est une consolation, et à l’aide de qui (employer un pronom relatif composé), elles peuvent s’échapper de leur vie. Je pense qu’ici, l’alcool symbolise leur révolte silencieuse envers le contrôle de madame Ménard et (il manque une préposition) Philippe.

Bonne correction




Réponse: Correction-commentaire de tya, postée le 01-10-2014 à 16:21:28 (S | E)
Bonjour jij33! Merci pour votre correction!
Voilà ma correction:

Tout d’abord, je remarque qu’il y a plusieurs contrastes dans ce film. Le premier contraste est entre le passé et la vie actuelle. Le refrain (je ne sais pas ce qu’il est dans le film ) que les enfants jouaient avec leurs parents dans le lit apparaît plusieurs fois dans ce film est-ce que c’est deux points ?) on peut bien sentir la joie et le bonheur de leurs sourires sous le bon éclat de soleil. En revanche, dans la vie actuelle, le café est sombre, l’ambiance de la famille est tendue et ils ne sont pas également intimes qu’avant. Même parmi les refrains il existe un contraste. Je remarque que le dernier refrain est différent des autres : il n’y a plus de joie mais de reproche et de peur. En comparant ce refrain à la vie actuelle, je pense que le réalisateur voudrait nous dire que la douleur peut remplacer la joie facilement si nous ne pouvons pas nous comprendre mutuellement. Le troisième contraste du film est dans le nom du café : le Père Tranquille. Dans ce film, il n’y a ni père ni tranquillité : le mari de la mère est décédé depuis longtemps et la famille se dispute toujours dans ce film.

Le réalisateur a aussi utilisé le procédé du symbole. Dans ce film, Philippe a offerte à sa femme Yolande un collier comme un cadeau, mais en réalité ce collier est comme une courroie mise au cou pour des animaux domestiques. Ce collier est un symbole de l’obéissance : la parole de Yolande est coupée, sa volonté de danse est refrénée et la quantité de sa boisson est encore limitée par son mari. Elle n’est pas libre. Betty, sœur de Philippe, non plus ,parce que son frère et sa mère trouvent bizarre de ne pas d’être mariée à trente ans . Donc Betty et Yolande ont bu inconsciemment beaucoup comme si l’alcool était une consolation, et à l’aide duquel, elles pouvaient s’échapper de leur vie. Je pense qu’ici, l’alcool symbolise leur révolte silencieuse envers le contrôle de madame Ménard et de Philippe.



Réponse: Correction-commentaire de jij33, postée le 02-10-2014 à 06:46:44 (S | E)
Bonjour tya
Le film dont vous parlez est Un air de famille. Je peux me tromper, mais je ne me souviens pas y avoir entendu de chanson. Le mot "refrain" ne semble pas approprié et vous pouvez le remplacer par "scène".

Tout d’abord, je remarque qu’il y a plusieurs contrastes dans ce film. Le premier contraste (éviter la répétition en supprimant ce mot) est (mieux : "se trouve") entre le passé et la vie actuelle. Le refrain (la scène) que les enfants jouaient avec leurs parents dans le lit apparaît plusieurs fois dans ce film (est-ce que c’est deux points ? Oui.) on peut bien sentir la joie et le bonheur de leurs sourires sous le bon éclat de soleil. En revanche, dans la vie actuelle, le café est sombre, l’ambiance de la famille est tendue et ils ne sont pas également (autre adverbe) intimes qu’avant. Même parmi les refrains il existe un contraste. Je remarque que le dernier refrain (supprimer ce mot pour éviter la répétition et mettre au féminin puisque "scène" sera sous entendu) est différent des autres : il n’y a plus de joie mais de reproche (au pluriel) et de (ajouter déterminant défini) peur. En comparant ce refrain à la vie actuelle, je pense que le réalisateur voudrait nous dire que la douleur peut remplacer la joie facilement (à placer avant "remplacer") si nous ne pouvons pas nous comprendre mutuellement. Le troisième contraste du film est dans le nom du café : le Père Tranquille. Dans ce film, il n’y a ni père ni tranquillité : le mari de la mère est décédé depuis longtemps et la famille se dispute toujours (autre adverbe : continuellement) dans ce film.

Le réalisateur a aussi utilisé le procédé du symbole. Dans ce film, Philippe a offerte (accord à revoir) à sa femme Yolande un collier comme un cadeau (inutile, à supprimer), mais en réalité ce collier est comme une courroie mise au cou pour (supprimer) des animaux domestiques. Ce collier (répétition: reprenez le groupe souligné par un pronom personnel sujet) est un symbole de l’obéissance : la parole de Yolande est coupée, sa volonté de danse est refrénée et la quantité de sa boisson est encore limitée par son mari. Elle n’est pas libre. Betty, sœur de Philippe, non plus, parce que son frère et sa mère trouvent bizarre de ne pas d’être (supprimer la préposition devant "être") mariée à trente ans . Donc Betty et Yolande ont bu inconsciemment beaucoup comme si l’alcool était une consolation ,et à l’aide duquel, (supprimer les deux virgules et mettre "duquel" au féminin, comme "consolation") elles pouvaient (le conditionnel présent conviendrait mieux) s’échapper de leur vie. Je pense qu’ici, l’alcool symbolise leur révolte silencieuse envers le contrôle de madame Ménard et de Philippe.

Pour trouver le bon adverbe dans votre comparatif d'égalité : Lien internet

Bonne continuation.




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