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Correction-commentaire de poème Message de tya posté le 23-06-2014 à 08:56:25 (S | E | F) Bonjour à tous!
Je viens d'écrire un commentaire comparé sur chant d'automne de Baudelaire et chanson d'automne de Verlaine. Pourriez vous m'aider pour la correction grammaticale, s'il vous plaît ? C'est un peu long.
Merci d'avance!!
Charles Baudelaire et Paul Verlaine étaient tous grands poètes de Décadentisme de 19ème. Leur style était élégant, mélancolique et plein de charme, attirant nombre des savants à les étudier. Aujourd’hui, je voudrais rédiger un commentaire comparé sur les deux poèmes : Chant d’automne de Charles Baudelaire et Chanson d’automne de Paul Verlaine. Mon texte s’attachera à la similarité et la différence entre les deux poèmes, concernant quatre aspects : la prosodie, le rime, le ton et la méthode d’écriture.
Nous pouvons voir qu’une grande différence existe dans la prosodie. Dans le poème chant d’automne, Baudelaire a utilisé Alexandrin, une métrique très souvent vue et appliquée dans les poèmes de 19ème siècle. Il y a toujours douze syllabes dans un vers pour un poème d’Alexandrin, nous sommes facilement attirés par son élégance dans la structure de la phrase quand nous les lisons. Nous pouvons combler nombre de contenu dans le dodécasyllabe. En revanche, il existe une révolution des rythmes dans chanson d’automne de Verlaine. Il n’a pas utilisé l’Alexandrin comme les autres, dans chanson d’automne, les phrases sont coupées à trois ou quatre syllabes, comme « Et je m'en vais/Au vent mauvais/Qui m'emporte/Deçà, delà/Pareil à la/Feuille morte. » Donc quand nous lisons, nous pouvons sentir un sentiment de douleur parce qu’il semble que l’auteur gémit de sa tristesse et cela renforce notre compréhension envers sa mélancolie.
Pour la deuxième différence, je voudrais discuter de la rime. Dans « chant d’automne », Baudelaire a utilisé la rime croisée du début à la fin, les rimes croisées sont alternées deux par deux. Par exemple, dans le ver « Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère ; Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé ; Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. » J’ai souligné les mots qui ont le son / ƐR/ et / se / et nous pouvons voir que dans chaque deux lignes, les rimes à la fin sont les mêmes. D’autre côté, dans le poème chanson d’automne de Paul Verlaine, bien que l’auteur n’ait pas utilisé des rimes communs mais il y a aussi un règle. Par exemple, parmi les vers, « Les sanglots longs/ Des violons/ De l'automne/Bercent mon cœur/D'une langueur/Monotone. », les rimes forment un règle de AACBBC : les derniers rimes de la première et deuxième, quatrième et cinquième, troisième et sixième rangs sont les mêmes. Les deux autres partis de ce poème sont de même. De plus, nous pouvons voir qu’il y a plusieurs onomatopées. Par exemple, « sanglot », « violon », « monotone » avec le son « O », comme un soupir de la tristesse. Ces onomatopées présentent l’attachement de l’auteur envers l’automne.
Pour la troisième différence, je traiterai du ton. Le ton de chanson d’automne est lent et lourd. La phrase est coupée en plusieurs rangs et les mots onomatopéiques comme « sanglots longs », « monotone » et « suffocant » j’ai mentionné au-dessus, prolongent l’intonation des vers et ralentirent le rythme du poème, créant une atmosphère déprimée. L’auteur se laissait conduit par sa tristesse sans aucune résistance. En revanche, dans chant d’automne à la première partie, Baudelaire a créé une scène très violente en utilisant les verbes « tomber », « frémir », « succomber » et les noms « choc », « coup », « enfer » et « cercueil ». Nous pouvons voir que, d’être bien différent que chanson d’automne, il existe une résistance à l’arrivée de l’automne en exprimant son peur, colère, haine et d’autres plusieurs sentiments en plus de son tristesse. D’ailleurs, Baudelaire tourne aussi le ton du poème très directement et très rapidement. Dans le premier partie, nous pouvons sentir son déteste envers l’automne, mais dans la deuxième partie, le ton devient plus tendre. Bien que nous puissions voir encore son peur, il a décrit la beauté et la douleur avec une tendresse. L’auteur a devenu plus calme. Néanmoins, dans la dernière paragraphe, il a utilisé quatre points d’exclamations pour renforcer son intonation. En ce moment-là, en soupirant d’émotion, l’auteur a bien accepté l’avenir et attendu l’automne.
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Modifié par bridg le 23-06-2014 08:56
La seconde partie de ce travail a été retirée. Nous vous aiderons à la traiter secondairement, lorsque celle-ci sera terminée.
Merci de votre compréhension.
Réponse: Correction-commentaire de poème de bridg, postée le 23-06-2014 à 10:31:27 (S | E) Bonjour Voici, dans un premier temps ce qu'il faudrait revoir. Bon courage !
Charles Baudelaire et Paul Verlaine étaient tous (manque un nombre) grands poètes de(manque une partie de phrase, c'est une période) Décadentisme de(mauvaise préposition) 19ème. ..... Nous pouvons voir qu’une grande différence existe dans la prosodie. Dans le poème chant (majuscule) d’automne, Baudelaire a utilisé Alexandrin (ce n'est pas un nom propre, mais un nom commun à mettre au pluriel et il manque un article) , une métrique très souvent vue et appliquée dans les poèmes de (mauvaise préposition) 19e siècle. Il y a toujours douze syllabes dans un vers pour un poème d’Alexandrin (ce n'est pas un nom propre et mauvais article). Nous sommes facilement attirés par son élégance dans la structure de la phrase quand nous les lisons (le pluriel ne convient pas). Nous pouvons combler nombre de contenu dans le dodécasyllabe. (cette partie n'a pas de sens)
En revanche, il existe une révolution des rythmes dans chanson (majuscule) d’automne de Verlaine. Il n’a pas utilisé l’Alexandrin (ce n'est pas un nom propre) comme les autres. Dans chanson d’automne, les phrases sont coupées à (autre préposition) trois ou quatre syllabes, comme « Et je m'en vais/Au vent mauvais/Qui m'emporte/Deçà, delà/Pareil à la/Feuille morte. » Donc quand nous lisons, nous pouvons sentir un sentiment de douleur parce qu’il semble que l’auteur gémit de sa tristesse (l'association de ces mots n'a pas de sens) et cela renforce notre compréhension envers sa mélancolie. (mal exprimé, même si on comprend l'idée.) Pour la deuxième différence, je voudrais discuter de la rime. Dans « chant d’automne (majuscule) », Baudelaire a utilisé la rime croisée du début à la fin, les rimes croisées sont alternées deux par deux. Par exemple, dans le ver (orthographe) « Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère ; Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé ; Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. », j’ai souligné les mots qui ont le son / ƐR/ et / se / et (autre conjonction) nous pouvons voir que dans chaque deux lignes, les rimes à la fin sont les mêmes. D’ (manque un article) autre côté, dans le poème chanson (majuscule) d’automne de Paul Verlaine, bien que l’auteur n’ait pas utilisé des rimes communs (rime = mot féminin) mais il y a aussi un règle. Par exemple, parmi (autre mot) les vers, « Les sanglots longs/ Des violons/ De l'automne/Bercent mon cœur/D'une langueur/Monotone. », les rimes forment un (féminin) règle de AACBBC : les derniers (féminin) rimes de la première(mettre au masculin) (et), deuxième, quatrième et cinquième, troisième et sixième rangs sont les mêmes. Les deux autres partis (orthographe) de ce poème sont de même (mal dit). De plus, nous pouvons voir qu’il y a plusieurs onomatopées. Par exemple, « sanglot », « violon », «monotone » avec le son « O », comme un soupir de la tristesse (mal dit). Ces onomatopées présentent (autre mot de la même famille) l’attachement de l’auteur envers(mal dit) l’automne. Pour la troisième différence, je traiterai du ton. Le ton de chanson (majuscule) d’automne est lent et lourd. La phrase est coupée en plusieurs rangs (êtes vous certaine du mot 'rang ?) et les mots onomatopéiques comme « sanglots longs », « monotone » et « suffocant » (j’ai) mentionné (accord) au-dessus, prolongent l’intonation des vers et ralentirent (conjugaison) le rythme du poème, créant une atmosphère déprimée.L’auteur se laissait conduit (conjugaison) par sa tristesse sans aucune résistance. En revanche, dans chant (majuscule) d’automne à (autre article) la première partie (placer tout ceci derrière 'en revanche'), Baudelaire a créé une scène très violente en utilisant les verbes « tomber », « frémir », « succomber » et les noms « choc », « coup », « enfer » et « cercueil ». Nous pouvons voir que, d’être bien différent que chanson (majuscule) d’automne , il existe une résistance à l’arrivée de l’automne(cette partie n'a pas de sens) en exprimant son (féminin) peur, xxx colère, xxxhaine (mettre des déterminants) et d’autres plusieurs (inverser les mots sans mettre de préposition) sentiments en plus de son (féminin) tristesse. D’ailleurs, Baudelaire tourne aussi le ton du poème (l'idée n'a pas de sens)très directement et très rapidement. Dans le (féminin) premier (féminin) partie, nous pouvons sentir son déteste envers ('détester est un verbe, pas un nom, la phrase ne va pas. Quand on déteste quelque chose, on a une 'aversion pour') l’automne, mais dans la deuxième partie, le ton devient plus tendre. Bien que nous puissions voir encore son (féminin)peur, il a décrit (mettre au présent) la beauté et la douleur avec (une) tendresse. L’auteur a (mauvais auxiliaire) devenu plus calme. Néanmoins, dans la dernière (il faut du masculin) paragraphe, il a utilisé (mettre au présent) quatre points d’exclamations (accord) pour renforcer son intonation. En (autre préposition)ce moment-là, en soupirant d’émotion, l’auteur a bien accepté l’avenir et attendu l’automne. (l'ensemble de cette dernière phrase n'est pas clair).
Réponse: Correction-commentaire de poème de tya, postée le 23-06-2014 à 16:24:05 (S | E) Bonjour bridg! Merci beaucoup de votre correction! Il reste quelque points que je ne comprends pas très bien, pourriez vous m'expliquer un peu, s'il vous plaît? Merci d'avance!!!
Charles Baudelaire et Paul Verlaine étaient deux grands poètes du 19ème. Leur style était élégant, mélancolique et plein de charme, attirant nombre des savants à les étudier. Aujourd’hui, je voudrais rédiger un commentaire comparé sur les deux poèmes : Chant d’automne de Charles Baudelaire et Chanson d’automne de Paul Verlaine. Mon texte s’attachera à la similarité et la différence entre les deux poèmes, concernant quatre aspects : la prosodie, la rime, le ton et la méthode d’écriture.
Nous pouvons voir qu’une grande différence existe dans la prosodie. Le poème Chant d’automne, de Charles Baudelaire est un alexandrin (est-ce que c’est mieux ? mais pourquoi vous conseillez au pluriel ?), une métrique très souvent vue et appliquée dans les poèmes au 19ème siècle. Il y a toujours douze syllabes dans la poésie alexandrine. Nous sommes facilement attirés par son élégance dans la structure de la phrase quand nous la lisons. En revanche, il existe une révolution des rythmes dans Chanson d’automne de Verlaine. Il n’a pas utilisé l’Alexandrin comme les autres. Dans Chanson d’automne, les phrases sont coupées en trois ou quatre syllabes, comme « Et je m'en vais/Au vent mauvais/Qui m'emporte/Deçà, delà/Pareil à la/Feuille morte. » Donc quand nous lisons, nous pouvons sentir un sentiment de douleur parce qu’il semble que l’auteur gémit tristement et nous pouvons mieux sentir la mélancolie de l’auteur.
Pour la deuxième différence, je voudrais discuter de la rime. Dans « Chant d’automne », Baudelaire a utilisé la rime croisée du début à la fin, les rimes croisées sont alternées deux par deux. Par exemple, dans la phrase « Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère ; Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé ; Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. », j’ai souligné les mots qui ont le son / ƐR/ et / se / donc nous pouvons voir que dans chaque deux lignes, les rimes à la fin sont les mêmes.
De l’autre côté, dans le poème Chanson d’automne de Paul Verlaine, bien que l’auteur n’ait pas utilisé des rimes communes mais il y a aussi un règle. Par exemple, dans les vers, « Les sanglots longs/ Des violons/ De l'automne/Bercent mon cœur/D'une langueur/Monotone. », les rimes forment une règle de AACBBC : les dernières rimes de la Première (pourquoi vous vonseillez utiliser majuscule ici ?) et deuxième, quatrième et cinquième, troisième et sixième rangs sont les mêmes. Les deux autres parties de ce poème sont écrit de la même manière. De plus, nous pouvons voir qu’il y a plusieurs onomatopées. Par exemple, « sanglot », « violon », «monotone » avec le son « O », comme une expression de sa tristesse. Ces onomatopées montrent l’attachement de l’auteur vers l’automne.
Pour la troisième différence, je traiterai du ton. Le ton de Chanson d’automne est lent et lourd. La phrase est coupée en plusieurs lignes et les mots onomatopéiques comme « sanglots longs », « monotone » et « suffocant » mentionnés au-dessus, prolongent l’intonation des vers et ralentissent le rythme du poème, créant une atmosphère déprimée. L’auteur se laissait conduire par sa tristesse sans aucune résistance.
En revanche, de la première partie dans Chant d’automne, Baudelaire a créé une scène très violente en utilisant les verbes « tomber », « frémir »,« succomber » et les noms « choc », « coup », « enfer » et « cercueil ». Nous pouvons voir que, d’être bien différent que Chanson d’automne, dans Chant d’automne les sentiments sont plus abondantes. L’auteur exprime sa peur, sa colère, sa haine et plusieurs autres sentiments en plus de sa tristesse.
D’ailleurs, Baudelaire tourne aussi le ton très directement et très rapidement. Dans la première partie, nous pouvons sentir son aversion pour l’automne, mais dans la deuxième partie, le ton devient plus tendre.
Bien que nous puissions voir encore sa peur, il décrit la beauté et la douleur avec une tendresse. L’auteur est devenu plus calme. Néanmoins, dans la Dernière (pourquoi majuscule ici ?) paragraphe, il utilise quatre points d’exclamations (j’ai mis le « s » ?) pour renforcer son intonation. Dans ce moment-là, en soupirant d’émotion, l’auteur a accepté le fait que l’automne va venir et il décidé à l’attendre.
Réponse: Correction-commentaire de poème de bridg, postée le 23-06-2014 à 16:36:20 (S | E) Je n'ai pas relu votre travail pour l'instant.
Je réponds simplement à vos questions en rouge.
1/ Chant d’automne, de Charles Baudelaire est un alexandrin -> non :
- Il est Fait de 7 quatrains, vers alexandrins, et rimes croisées.- En 2 parties majeures (I et II) ou 7 strophes.
Lien internet
2/et 3/ Je ne parle pas de majuscules, mais de masculin
4/ exclamation ne prend pas d's. Ce sont des points qui marque l'exclamation.
Cordialement.
Réponse: Correction-commentaire de poème de tya, postée le 24-06-2014 à 03:42:37 (S | E) Bonjour bridg! Merci de votre réponse! Je suis désolée j'ai fait la correction sans soin! Je vais corriger mon commentaire plus attentivement!! J'ai modifié le deuxième paragraphe, est-ce que c'est mieux? Merci!(Bien que je ne puisse pas comprendre pourquoi Chant d'automne a 7 quatrin et vers alexandrin, mais ce poème n'est pas alexandrin? C'est parce que l'alexandrin n'est pas un type de poème? (Je sais que ce forum est établi pour l'étude de grammaire que la littérature donc je pense qu'il n'est pas propre de poser ce question ici...donc ce n'est pas grave si vous ne me répondez pas
Nous pouvons voir qu’une grande différence existe dans la prosodie. Chant d’automne de Charles Baudelaire est Fait de sept quatrin, vers alexandrin. L’alexandrin est une métrique très souvent vue dans les poèmes du 19ème siècle. Il y a toujours douze syllabes dans une poésie alexandrine. Nous sommes facilement attirés par son élégance dans la structure de la phrase quand nous la lisons. Par exemple, "Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre/Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer."En revanche, il existe une révolution des rythmes dans Chanson d’automne de Paul Verlaine. Les phrases de Chanson d’automne sont coupées en trois ou quatre syllabes, comme « Et je m'en vais/Au vent mauvais/Qui m'emporte/Deçà, delà/Pareil à la/Feuille morte. » Donc quand nous lisons, nous pouvons sentir un sentiment de douleur parce qu’il semble que l’auteur gémit tristement et nous pouvons mieux sentir la mélancolie de l’auteur.
Réponse: Correction-commentaire de poème de tya, postée le 24-06-2014 à 04:05:39 (S | E) Bonjour! Voici la deuxième partie, pourriez m'aider pour la correction, s'il- vous plaît? Merci beaucoup!
Maintenant je voudrais discuter de la similarité des deux poèmes. En plus de la même sujet « automne » et « chagrin » , il y a d’autres points en commun pour les deux poèmes. Par exemple, la méthode de l’écriture. Les deux auteurs ont tous utilisé la métaphore et la personnification dans leur propre œuvre dont je voudrais parlerai.
D’abord, la métaphore. Dans chanson d’automne, Paul Verlaine l’a appliqué dans la phrase « Et je m'en vais/Au vent mauvais/Qui m'emporte/Deçà, delà/Pareil à la/Feuille morte. » Il comparait « moi » comme une feuille emporté partout par le vent, cela nous présent une image que « moi » était un homme conduit par son désespoir et douleur : il n’a rien que sa tristesse. De même, dans chant d’automne, Baudelaire a aussi utilisé plusieurs métaphores dans le poème, par exemple , dans la phrase « tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère/Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire/Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.», tous les sentiments négatives sont comparés avec l’hiver, et « mon cœur » est donc devenu un bloc rouge et glacé. Le cœur et un bloc forment une autre métaphore. Il y a aussi un contraste de la chaleur et le froid, et de la couleur rouge et blanc, parce que l’hiver et le pôle sont toujours liés avec la couleur blanc. Baudelaire a aussi utilisé d’autres métaphores. Par exemple, il a comparé son esprit avec un tour qui succombe, montrant que son esprit ne peut pas supporter des chocs ; Il a aussi comparé le « choc funèbres » du bois avec le coup du bélier heurtant son cœur. Les chocs lui semblent que quelqu’un cloue un cercueil et comme une sonnerie du départ. Quel sens veut-Charles Baudelaire exprimer à travers cette métaphore ? Je pense qu’à travers ce moyen, il a fait le bruit de la tombée des feuilles plus vivant donc il est plus facile à comprendre la peur de l’auteur, son attachement d’été et son dégoût de l’automne.
La deuxième méthode d’écriture dont je voudrais parlerai c’est la personnification. Dans chanson d’automne, Paul Verlaine a dit que « les sanglots longs des violons », ici le violon personnifie l’homme triste, son sanglot peut éveiller le même sentiment des autres et les bercer. Pour les autres, le bruit des violons est seulement la musique, mais pour l’auteur qui est triste, ce bruit est devenu le sanglot, donc à travers cette personnification, le chagrin de l’auteur est plus vivant.
De même, Charles Baudelaire a aussi l’appliqué dans chant d’automne. Par exemple, dans la phrase « la tombe attend; elle est avide ! » la tombe personnifie l’homme avide qui attend de la mort. La personnification fait la peur de l’auteur plus vivante : son peur n’a plus seulement envers le passé d’été mais aussi envers le passé du temps. Le temps passe très vite. Cet homme est avide parce que tout le monde va mourir au fur et à mesure du temps. Cela ajoute un sens d’une tristesse plus profonde à la fin de ce poème.
En résumé, bien que les deux poèmes concernent la même saison, l’automne, ils présentent différents styles. Ainsi, à travers l’analyse des différences et les points communs, nous pouvons mieux comprendre les deux poèmes et l’intention d’auteur.
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