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Message de kiwi77 posté le 26-09-2013 à 11:15:32
Bonjour à tous,
j'ai eu un exercice de traduction donné par mon prof ;j'ai eu beaucoup de mal à traduire.
Pouvez-vous me corriger et m'indiquer ce qui ne va pas ?
Merci à tous.
Voici le texte à traduire :
Postwar Britons might have imagined that they had escaped the class-bound rigidity portrayed in popular dramas such as “Downton Abbey.”
The creation of the welfare state, followed by the cultural democratization of the 1960s, appeared to have broken down the old class barriers long before Tony Blair, Labour prime minister from 1997 to 2007, heralded the rise of the meritocracy.
But hard times have prompted a revival of tensions between the haves and the have-nots, with some commentators claiming the country’s old class obsession is still alive and well.
Toby Young of the right-leaning Spectator has described a Sunday lunch party with a group of journalists (itself a potent class identifier to the attuned British ear) at which “the conversation inevitably turned to class and how this ancient English obsession has come to dominate the political news agenda.”
Mr. Young said it was plainly not true that Britain was more hamstrung by class than any other Western country, but he acknowledged that the British quickly fell back on class stereotypes.
“We may profess to hate our class system, but we cannot help but feel a wry affection for it,” he wrote. “It’s part of who we are and we’re loath to give that up.”
The class debate can arise in the most unexpected contexts, such as last year’s Olympic Games.
Although Britain’s hosting of the event was widely deemed to be a national triumph, there were laments that a disproportionate number of its athletes had gone to affluent private schools.
And Sandie Shaw, a barefoot working class songstress of the 1960s, recently complained to a Parliamentary committee that only the privately educated children of rich parents now had a chance of breaking into the music world.
Voici ma traduction :
Les Britanniques de l'après-guerre pourraient avoir imaginé qu'ils avaient échappé à son systéme d'interclasse rigide dépeint dans les séries télévisées populaires tels que "downtown Abbey".
La création de l'Etat Providence, suivi de la vague de contre culture des années 60, semble avoir brisé les anciennes barrières entre les différentes classes sociales bien avant Tony Blair, membre du parti Travailliste et Premier Ministre de 1997 à 2007, annonçait la montée de la méritocratie.
Mais les temps difficiles ont entrainés une reprise des tensiones entre les nantis et les démunis, avec certains commentateurs prétendant que l'obsession de l'ancienne classe du pays est toujours bien présente.
Toby Young, journaliste au magazine britannique The Spectator de tendance conservatrice a décrit une réception organisée le dimanche autour d'un déjeuner avec un groupe de journalistes (qui font partie de la classe dominante en accord avec "l'oreille Britannique" (je n'ai pas bien compris cette phrase)) à laquelle "la conversation a inévitablement tournée autour du sujet des classes sociales et comment cette vieille obsession anglaise est venue à dominer l'agenda des actualités politiques".
Mr. Young a déclaré que ce n'est pas entierement vrai que les classes sociales paralysent plus la Grande Bretagne que n'importe quel autre pays de l'Occident mais il a reconnu que les britanniques retombent rapidement dans les stéréotypes des classes sociales.
"On peut prétendre detester notre système de classes sociales mais on ne peut pas s'empecher de ressentir une légere affection ironique pour ce système". Il a écrit "Cela fait partie de nous et nous ne sommes pas pret d'y renoncer".
Le débat sur les classes sociales peut se manifester dans les contextes les moins attendus, tel que les Jeux Olympiques de l'an dernier.
Bien que l'accueil Britannique pour cet événement a largement été considérée comme un triomphe national, il y a eu des plaintes qu'un nombre disproportionné de ses athlètes ont étudiés dans des écoles privées fortunées.
Et Sandy Shaw, une chanteuse pied noir de la classe ouvrière des années 60, s'est récemment plaint à un Commité parlementaire que seuls les enfants de parents riches qui suivent une éducation privée ont aujourd'hui la chance de percer dans le monde de la musique.
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Modifié par lucile83 le 26-09-2013 11:28
Votre texte provient de toute évidence d'un traducteur en ligne, ce que nous ne corrigeons pas car votre travail n'a aucun intérêt.
Vous pouvez consulter un dictionnaire (pas un traducteur) en faisant un double clic sur un mot.
Merci de nous proposer un travail personnel qui sera alors sans doute vérifié.
Best wishes.
Réponse: Traduction /aide de lucile83, postée le 26-09-2013 à 11:46:44
Hello
Passage à traduire
Postwar Britons might have imagined that they had escaped the class-bound rigidity portrayed in popular dramas such as “Downton Abbey.”
The creation of the welfare state, followed by the cultural democratization of the 1960s, appeared to have broken down the old class barriers long before Tony Blair, Labour prime minister from 1997 to 2007, heralded the rise of the meritocracy.
But hard times have prompted a revival of tensions between the haves and the have-nots, with some commentators claiming the country’s old class obsession is still alive and well.
Toby Young of the right-leaning Spectator has described a Sunday lunch party with a group of journalists (itself a potent class identifier to the attuned British ear) at which “the conversation inevitably turned ....
Traduction Reverso
Des Britanniques de L'après-guerre pourraient avoir imaginé qu'ils avaient échappé à la rigidité attachée de classe peinte(décrite) dans des drames populaires comme "Downton l'Abbaye."
La création de l'État-providence, suivi par la démocratisation culturelle des années 1960, a semblé avoir détruit les vieilles barrières de classe longtemps avant Tony Blair, le Premier ministre travailliste(de travail) de 1997 à 2007, a annoncé la hausse(l'ascension) de la méritocratie.
Mais les périodes difficiles ont incité une reprise de rapports tendus entre les nantis et les démunis, avec quelques commentateurs revendiquant la vieille obsession de classe du pays est toujours en pleine forme.
Toby Jeune du Spectateur de droite a décrit un parti(une fête) de Repas du dimanche avec un groupe de journalistes (lui-même un identifiant de classe puissant à l'oreille britannique accordée) à lequel "la conversation inévitablement tournée .......
Votre traduction
Les Britanniques de l'après-guerre pourraient avoir imaginé qu'ils avaient échappé à son systéme d'interclasse rigide dépeint dans les séries télévisées populaires tels que "downtown Abbey".
La création de l'Etat Providence, suivi de la vague de contre culture des années 60, semble avoir brisé les anciennes barrières entre les différentes classes sociales bien avant Tony Blair, membre du parti Travailliste et Premier Ministre de 1997 à 2007, annonçait la montée de la méritocratie.
Mais les temps difficiles ont entrainés une reprise des tensiones entre les nantis et les démunis, avec certains commentateurs prétendant que l'obsession de l'ancienne classe du pays est toujours bien présente.
Toby Young, journaliste au magazine britannique The Spectator de tendance conservatrice a décrit une réception organisée le dimanche autour d'un déjeuner avec un groupe de journalistes (qui font partie de la classe dominante en accord avec "l'oreille Britannique" (je n'ai pas bien compris cette phrase)) à laquelle "la conversation a inévitablement tournée
Vous avez quand même changé certaines choses, mais ce que j'ai surligné en bleu montre que vous n'avez pas compris la phrase sinon vous ne l'auriez pas copiée telle quelle, elle n'a pas de sens (il manque 'que'...bien avant que Tony Blair...
+ autres erreurs manifestes.