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Message de audrey1 posté le 16-04-2011 à 14:24:33 (S | E | F)
Bonjour,
Merci de bien vouloir m'aider pour ma traduction s'il vous plaît.
Merci pour vos réponses.
For nearly 3 million years of human history, saving and investment was a dumb idea. We hunted, we gathered, we consumed, and we moved on to greener pastures. Only when migrating tribes learned to settle down and farm did they need to save and plan, storing seeds and surpluses to tide them over from season to season. We've had 10,000 years to absorb the truth that cultures that don't value THRIFT ultimately flame out and die. Apparently that isn't long enough to learn the lesson.
Judging from tales about the rise and fall of empires, there is always a point when things are going so well that the emperors doubt that anything could ever go wrong. "THRIFT," warned Nero's adviser Seneca, "comes too late when you find it at the bottom of your purse." In the Old World, nations grew fat and then lazy, until they collapsed under their own weight. But that was not to be our story. American greatness--the vision of the founders, the courage of the pioneers, the industry of the nation builders--reflected a mighty faith in the power of sacrifice as a muscle that made young nations strong. Banks were like gyms for the soul: the first savings banks in Boston and New York were organized as charities, where "humble journeymen" could exercise good judgment, store their money and not be tempted to waste it on drink. Architect Louis Sullivan carved the word THRIFT over the door of his "jewel box" bank nearly a century ago, for it was private virtue that made public prosperity possible.
time, 13 October 2008
Voici ma traduction:
Pendant près de 3 millions d'années de l'histoire de l'humanité l'épargne et l'investissement étaient un concept inexistant. Nous chassions, nous cueillons, et nous nous déplaçions vers des paturages plus verts.Depuis les tribues nomades ont appris à se sédentariser et à cultiver ce dont elles avaient besoin pour survivre et planifier, stockant des graines et les surplus pour se dépanner d'une saison à l'autre.Nous avons mis cent ans pour comprendre que les cultures qui n'ont pas de valeurs économiques brulent et meurent.Apparemment ce n'est pas assez long pour en tirer les conséquences.A en juger par les récits sur l"ascension et la chute des empires, il y a toujours un moment ou les choses vont si bien que les empereurs doutent que quelquechose puisse tourner mal.
Dans l'ancien monde, les nations sont devenues grosses et paresseuses, jusqu'a qu'elles s'éffondrent sous leur propre poids.Mais cela ne devait pas etre l'histoire du nouveau monde .La grandeur américaine-la vision des fondateurs, le courage des pionniers, l'industrie des constructeurs de la nation reflètent la foi énorme dans le pouvoir du sacrifice comme un muscle qui crée des jeunes nations fortes.Les banques étaient des gymnases de l'ame: les premières caisses dépargne a BOSTON et NY ont été organisées comme des associations de bienfaisances ou des "compagnons humbles" pourraient faire preuve de bon jugement, stocker leur argent et ne pas etre tenté de le gaspiller dans les boissons.Il y a prés d'un siècle l'architecte Louis SULLIVAN sculpta le mot économie au dessus de la porte d'entée de la banque car c'était la vertue privée qui a rendu la prospérité publique possible.
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Modifié par lucile83 le 16-04-2011 15:55
Réponse: Real patriots don't spend de dolfine56, postée le 16-04-2011 à 15:26:43 (S | E)
Bonjour,
Pendant près de 3 millions d'années de l'histoire de l'humanité l'épargne et l'investissement étaient un concept inexistant--les concepts de l'épargne et de l'investissement étaient inexistants--. Nous chassions, nous cueillions, et nous nous déplaçions vers des paturages plus verts.Depuis les tribues nomades ont appris à se sédentariser et à cultiver ce dont elles avaient besoin pour survivre et planifier, stockant des graines et les surplus pour se dépanner d'une saison à l'autre.Nous avons mis cent ans pour comprendre que les cultures qui n'ont pas de valeurs économiques brûlent--s'effondrent (plongent) et meurent.Apparemment ce n'est--verbe au passé-- pas assez long pour en tirer les conséquences.A en juger par les récits sur l"ascension et la chûte des empires, il y a toujours un moment ou--avec un accent-- les choses vont si bien que les empereurs doutent que quelquechose puisse tourner mal.__a averti Sénèque, conseillé de Néron__
Dans l'ancien monde, les nations sont devenues grosses--énormes, ou pléthoriques-- et paresseuses, jusqu'a--ce-- qu'elles s'éffondrent sous leur propre poids.Mais cela ne devait pas être l'histoire du nouveau monde .La grandeur américaine-la vision des fondateurs, le courage des pionniers, l'industrie des constructeurs de la nation reflètent la foi énorme dans le pouvoir du sacrifice comme un muscle qui crée des jeunes nations fortes.Les banques étaient des gymnases de l'^ame: les premières caisses d'épargne à-- BOSTON et NY ont été organisées comme des associations de bienfaisance
...it's up to you...
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