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Mademoiselle R
Message de fatiati51 posté le 19-02-2020 à 14:20:29 (S | E | F)
Bonjour.
S
'il vous plaît, pouvez-vous m'aider à corriger ce texte ? Merci d'avance.
Mademoiselle R
Le 12 mars 2000, un jour ancré dans ma mémoire, inoubliable pour moi. Je m’en souviens des tous les événements, même les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mes comportements, mes habitudes, mes attitudes et aussi mes convictions furent entièrement changés. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; il était la fille de notre nouveau voisin. De la première vue, mon cœur fut tremblé, il ne cesse de palpiter, j’avais peur que j’aurais une crise cardiaque. Une sensation indicible celle que j’avais ressentie en jetant, de temps en temps, un coup d’œil sur sa physionomie. De la pitié et de la compassion mélangées avec du remords et de la culpabilité.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge ; sans réfléchir, je me trouvais à son côté pour lui présenter de l’aide. C’est une occasion qui m’a était offert pour parler à elle, et d’identifier les causes de sa paralysie.
Un jour, en retournant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la rassurer, car la veille elle avait pris connaissance de sa maladie. Le soir en se sentant en retard, elle descendit l’escalier en courant, malheureusement elle glissa et tomba la tête sur une marche. Un jour après, les médecins déclaraient qu’elle aurait une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté qu’elle devrait pratiquer une opération chirurgicale, c’est le seul moyen pour rétablir sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur, était mademoiselle R. Bien que la chance de la réussite de l’opération chirurgicale soit minime, elle insistait de la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les limites de l’ordinaire, une personnalité charismatique capable de convaincre ceux qui s’y opposaient. Sa confiance XXXX lui donnaient le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était débordée d’espoir, pleine d’enthousiasme, son optimisme est à son optimum, rien ne lui empêchera de reprendre sa motricité, elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses lèvres entend un désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux mélangé de larmes qui s’écoulaient sur ses joues reflétaient son vouloir de battre la chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial, tous étaient irrités, certains marchaient en va-et-vient le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération a réussi.
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Modifié par webmaster le 19-02-2020 16:34
Merci d'éviter les allusions à la religion.



Réponse : Mademoiselle R de bridg, postée le 19-02-2020 à 18:08:20 (S | E)
Bonjour !
Voici une première aide :

Le 12 mars 2000, (il manque un verbe d’état) un jour ancré dans ma mémoire, inoubliable pour moi (pléonasme). Je m’en (autre pronom complément) souviens des (pas de pluriel) tous les événements (, même) dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait (manque une préposition) mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mes comportements (mettre au singulier), mes habitudes, mes attitudes et aussi mes convictions furent entièrement changés. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; il(pronom sujet féminin) était la fille de notre nouveau voisin. De (autre préposition) (la) première vue, mon cœur fut tremblé,(il faut un autre verbe, celui-ci ne peut s’associer au nom cœur) (il ne cesse conjuguer à l'imparfait) de palpiter, j’avais peur (que j’aurais)(à remplacer par une préposition + l’infinitif du verbe avoir.) une crise cardiaque. Une sensation indicible (il manque un petit mot) celle que j’avais ressentie (mettre du passé composé) en jetant, de temps en temps, un coup d’œil sur sa physionomie. De la pitié et de la compassion mélangées avec du remords et de la culpabilité.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge ;(remplacer par un point) sans (majuscule) réfléchir, je me trouvais à son côté pour lui présenter (utilisez le verbe proposer) de l’aide. C’est(conjuguer à l’imparfait) une occasion qui m’a était (erreur de conjugaison) offert (qualifie un nom féminin) pour parler à (changer de préposition) elle, et (d’)identifier les causes de sa paralysie.
Un jour, en retournant (utiliser le verbe revenir) de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades qui habitait au troisième étage, pour la rassurer car la veille elle avait pris connaissance de sa maladie. Le soir en (remplacer par une virgule) se sentant en retard, elle descendit l’escalier en courant, (Remplacer par un point) malheureusement (majuscule) elle glissa et tomba la tête sur une marche. Un jour après (remplacer par le lendemain) les médecins déclaraient qu’elle aurait (conjuguer à l’imparfait) une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté (manque une préposition) qu’elle devrait pratiquer une opération remplacer par intervention) chirurgicale, c’est(conjuguer à l’imparfait) le seul moyen pour rétablir sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur, était mademoiselle R (inverser le sujet et le verbe et positionner en début de phrase.). Bien que la (mettre au pluriel) chance (mettre au pluriel) de (la) réussite de l’opération chirurgicale soit (mettre au pluriel) minime (mettre au pluriel), elle insistait (conjuguer au passé simple) de (autre préposition) la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les limites de l’ordinaire, une personnalité charismatique capable de convaincre ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était débordée (pleine) d’espoir(, pleine) (mettre une conjonction de coordination)d’enthousiasme,(remplacer par un point) son (majuscule) optimisme est (conjuguer à l’imparfait) à son optimum, (changer pour un point) rien (majuscule) ne lui (changez de pronom complément) empêchera (conjuguer au conditionnel) de reprendre (changer avec le verbe retrouver) sa motricité,(changer par un point.) elle (majuscule) était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses lèvres (virgule + mettre un pronom personnel sujet) entend (mettre le verbe éprouver) un désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux mélangé de révélé par les larmes qui s’écoulaient (remplacer par le verbe couler) sur ses joues reflétaient mettre à le 3e personne du singulier) son vouloir (remplacer par intention) de battre (remplacer par abandonner) la remplacer par un déterminant possessif)chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial, (mettre un point) tous (majuscule) étaient irrités, (remplacer par un point) certains (majuscule) marchaient en (remplacer par le verbe faire à l’imparfait + un article défini masculin) va-et-vient le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération a (conjuguer à l’imparfait) réussi.

Bon courage !



Réponse : Mademoiselle R de fatiati51, postée le 19-02-2020 à 23:14:50 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment pour votre aide inconditionnelle, j'ai corrigé le texte suivant suivant vos conseils.
Mademoiselle R
Le 12 mars 2000, restait un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans tout mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement, mes habitudes et mes convictions furent entièrement changés. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. À première vue, mon cœur battait, il ne cessait de palpiter, j’avais peur d’avoir une crise cardiaque. Une sensation indicible est celle que j’ai ressenti en jetant, de temps en temps, un coup d’œil sur sa physionomie. De la pitié et de la compassion mélangées avec du remords et de la culpabilité.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, je me trouvais à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était une occasion qui m’était offerte pour parler à lui et identifier les causes de sa paralysie.
Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la rassurer, car la veille elle avait pris connaissance de sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle descendit l’escalier en courant. Malheureusement elle glissa et tomba la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins déclaraient qu’elle avait une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté à qu’elle devrait pratiquer une intervention chirurgicale, c’était le seul moyen pour rétablir sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale soient minimes, elle insista à la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les limites de l’ordinaire, une personnalité charismatique capable de convaincre ceux qui s’y opposaient. Sa confiance xxxx lui donnaient le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme, son optimisme était optimum. Rien ne l’empêchera de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses lèvres, il éprouve un désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial. Tous étaient irrités. Certains faisaient le va-et-vient le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.



Réponse : Mademoiselle R de bridg, postée le 20-02-2020 à 00:08:08 (S | E)
Bonsoir
Voici ce qui est à revoir :

Le 12 mars 2000, restait (il faut du futur, du passé composé ou du présent simple, les trois sont possibles.) un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans tout mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement, mes habitudes et mes convictions furent entièrement changés. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. À première La première fois que je l'ai vue, mon cœur battait, il ne cessait de palpiter, j’avais peur d’avoir une crise cardiaque (c'est trop !) . J'ai ressenti une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. est celle que j’ai ressenti en jetant, de temps en temps, un coup d’œil sur sa physionomie. Peut-être de la pitié et de la compassion mélangées avec du remords et de la culpabilité. (vous ne pouvez pas dire ça ! C'est beaucoup trop excessif).
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, je me trouvais ( mettez le verbe 'aller' au passé composé) à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était une (mettre un article défini élidé) occasion qui m’était offerte pour (autre préposition + pronom complément) parler à lui et xxx ( il manque une préposition)identifier (préférer le verbe 'connaître')) les causes de sa paralysie.

Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la rassurer car la veille elle avait pris connaissance de sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle descendit l’escalier en courant. Malheureusement elle glissa et tomba la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins déclaraient qu’elle avait une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté (à) en lui disant qu’elle devrait pratiquer il faut le verbe subir ) une intervention chirurgicale. C’était le seul moyen pour rétablir sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale soient minimes, elle insista à (autre préposition) la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les limites de l’ordinaire, une personnalité charismatique capable de convaincre ceux qui s’y opposaient. Sa confiance ... (non pour les propos que j'ai retirés) ... lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme, son optimisme était optimum. Rien ne l’empêchera de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.

Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses lèvres, il (pourquoi il ?) éprouve (conjuguer à l'imparfait) un désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial. Tous étaient irrités. Certains faisaient le va-et-vient le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.

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Voilà ! Sur le fond, comme je vous l'ai déjà dit précédemment :
-Évitez de faire du remplissage en multipliant les adjectifs, les sentiments ressentis, les énumérations. Un mot juste n'a pas besoin d'être expliqué ou surenchéri par une énumération derrière.
De plus, cette pratique vous mène à écrire des chose qui peuvent choquer.
- On ne fait pas une crise cardiaque parce qu'on rencontre quelqu'un dans un fauteuil roulant, comme on ne peut ressentir du remords ni de la culpabilité pour quelque-chose dont on n'est pas responsable.
- On va voir une personne, on ne va pas voir sa physionomie -
Attention avec le mot "pitié". C'est un mot mal ressenti par le destinataire. il a une notion de condescendance. Le mot compassion est suffisant.

Bonne correction. Je vous ai aidée avec des passages reformulés en vert. Il restera des passages à améliorer encore par la suite



Réponse : Mademoiselle R de fatiati51, postée le 20-02-2020 à 11:35:54 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en respectant vos recommandations.
Mademoiselle R
Le 12 mars 2000, restera un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement, mes habitudes et mes convictions furent entièrement changés. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. La première fois que je l’ai vue, mon cœur ne cessait de palpiter. J’ai ressenti une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. Peut-être de la pitié et de la compassion.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, je suis allé à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était l’occasion qui m’était offerte de lui parler et de connaitre les causes de sa paralysie.
Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la rassurer, car la veille elle avait pris connaissance de sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle descendit l’escalier en courant. Malheureusement elle glissa et tomba la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins déclaraient qu’elle avait une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté en lui disant à qu’elle devrait subir une intervention chirurgicale. C’était le seul moyen pour rétablir sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale soient minimes, elle insista de la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les limites de l’ordinaire, une personnalité charismatique capable de convaincre ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme, son optimisme était optimum. Rien ne l’empêchera de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses lèvres. Elle éprouvait un désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial. Tous étaient irrités. Certains faisaient le va-et-vient le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.



Réponse : Mademoiselle R de bridg, postée le 20-02-2020 à 13:41:25 (S | E)
Bonjour !
Nous avançons pas à pas et allons maintenant affiner un peu la correction

Le 12 mars 2000, restera un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement, mes habitudes et mes convictions furent entièrement changés (utiliser plutôt le verbe 'changer' au passé simple suivi de l'expression 'du tout au tout'.). En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. La première fois que je l’ai vue, mon cœur ne cessait (c'est un fait temporaire, le passé simple serait plus approprié) de palpiter. J’ai ressenti (préférez l'imparfait pour ce verbe) une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. Peut-être un mélange de la pitié et de la compassion.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R s’efforçait (mettez le verbe 'tenter') de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, je suis allé (ce n'est pas faux, mais le passé simple sera plus littéraire.) à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était l’occasion qui m’était offerte de lui parler et de connaître de me renseigner sur les causes de sa paralysie.

Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la rassurer (préférez la verbe 'soutenir'), car la veille elle avait pris connaissance de (le verbe 'apprendre suffira) sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle descendit (conjuguez plutôt au plus-que-parfait) l’escalier en courant. Malheureusement elle glissa (conjuguez plutôt au plus-que-parfait)et tomba(conjuguez plutôt au plus-que-parfait) la tête sur une marche.
Le lendemain, les médecins déclaraient lui annoncèrent qu’elle avait (remplacer par le verbe 'souffrir' au même temps + préposition élidée.) une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté en lui disant à qu’elle devrait subir une intervention chirurgicale suivie de plusieurs mois de rééducation en kinésithérapie. C’était le seul moyen pour rétablir (le verbe 'récupérer' serait plus approprié.) sa motricité, avec l’obligation de pratiquer régulièrement des séances de kinésithérapie.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale soient (conjuguer à 'l'imparfait) minimes, elle insista de (autre préposition) la pratiquer. Elle avait une forte volonté qui dépasse les au delà des limites de l’ordinaire, (remplacer la virgule par un petit mot de liaison;) une personnalité charismatique capable de convaincre tous ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme. Son optimisme était optimum. Rien ne l’empêchera (conjuguer au conditionnel) de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire dessiné sur ses accroché aux lèvres, elle éprouvait un (remplacer par un article défini masculin.) désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire glacial passèrent comme quatre ans dans un bloc glacial. Tous étaient irrités inquiets. Certains faisaient le va-et-vient les cent pas le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.

A vous !



Réponse : Mademoiselle R de fatiati51, postée le 20-02-2020 à 18:42:22 (S | E)
Bonjour,
Merci bridg de l’intérêt porté à mon message, je suis très reconnaissant, j’ai corrigé le texte suivant vos conseils. S’il vous plaît, il y a deux corrections que je n’arrive pas à les comprendre, est-il possible de les clarifier davantage ?
1) Peut-être un mélange de la pitié et de la compassion. Pourquoi avez-vous supprimé les articles définis ?
2) Le soir, se sentant en retard, elle descendit (conjuguez plutôt au plus-que-parfait) l’escalier en courant. Malheureusement elle glissa (conjuguez plutôt au plus-que-parfait)et tomba(conjuguez plutôt au plus-que-parfait) la tête sur une marche. Vous m’avez demandé de conjuguer ces verbes au plus- que-parfait, alors que ce sont des faits temporaires.

Mademoiselle R
Le 12 mars 2000, restera un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement et mes convictions changèrent du tout au tout. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. La première fois que je l’ai vue, mon cœur ne cessa de palpiter. Je ressentais une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. Peut-être un mélange de pitié et de compassion.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R tentait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, j’allai à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était l’occasion qui m’était offerte de lui parler et de me renseigner sur les causes de sa paralysie.
Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la soutenir, car la veille elle avait appris sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle avait descendu l’escalier en courant. Malheureusement elle avait glissé et avait tombé la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins lui annoncèrent qu’elle souffrait d’une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté en lui disant qu’elle devrait subir une intervention chirurgicale suivie de plusieurs mois de rééducation en kinésithérapie. C’était le seul moyen pour récupérer sa motricité.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale fussent minimes, elle insista à la pratiquer. Elle avait une volonté au-delà des limites de l’ordinaire et une personnalité charismatique capable de convaincre tous ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme. Son optimisme était optimum. Rien ne l’empêcherait de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire accroché aux lèvres, elle éprouvait le désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire glacial passèrent comme quatre ans. Tous étaient inquiets. Certains faisaient les cents pas le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.




Réponse : Mademoiselle R de bridg, postée le 22-02-2020 à 20:26:29 (S | E)
Bonsoir !
C'est bien ! C'est presque terminé

Le 12 mars 2000, restera un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement et mes convictions changèrent du tout au tout. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. La première fois que je l’ai vue, mon cœur ne cessa de palpiter. Je ressentais une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. Peut-être un mélange de pitié et de compassion.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R tentait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, j’allai à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était l’occasion qui m’était offerte de lui parler et de me renseigner sur les causes de sa paralysie.
Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la soutenir, car la veille elle avait appris sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle avait descendu l’escalier en courant. Malheureusement elle avait glissé et avait (l'autre auxiliaire) tombé (accorder au féminin) la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins lui annoncèrent qu’elle souffrait d’une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté en lui disant qu’elle devrait subir une intervention chirurgicale suivie de plusieurs mois de rééducation en kinésithérapie. C’était le seul moyen pour récupérer sa motricité.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale fussent minimes, elle insista à (autre préposition) la pratiquer. Elle avait une volonté au-delà des limites de l’ordinaire et une personnalité charismatique capable de convaincre tous ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme. Son optimisme était optimum. Rien ne l’empêcherait de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire accroché aux lèvres, elle éprouvait le désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire glacial passèrent comme quatre ans. Tous étaient inquiets. Certains faisaient les cents pas le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.



Réponse : Mademoiselle R de fatiati51, postée le 22-02-2020 à 21:39:57 (S | E)
Bonjour,
Je tiens à remercier infiniment bridg de l’intérêt porté à mon message, je suis très reconnaissant, j’ai corrigé le texte suivant vos conseils.
Mademoiselle R
Le 12 mars 2000, restera un jour ancré dans ma mémoire. Je me souviens de tous les événements dans les moindres détails. Ce jour-là, la peur régnait dans mon cœur, le malheur comblait ma vie. C’est le jour où mon comportement et mes convictions changèrent du tout au tout. En bref, le jour où ma vie fut bouleversée.
Je connaissais mademoiselle R depuis peu de temps ; elle était la fille de notre nouveau voisin. La première fois que je l’ai vue, mon cœur ne cessa de palpiter. Je ressentais une sensation indicible alors que je la regardais furtivement. Peut-être un mélange de pitié et de compassion.
Assise sur sa chaise roulante, mademoiselle R tentait de traverser la route avant que les feux de signalisation clignotent en rouge. Sans réfléchir, j’allai à son côté pour lui proposer de l’aide. C’était l’occasion qui m’était offerte de lui parler et de me renseigner sur les causes de sa paralysie.
Un jour, en revenant de l’université, mademoiselle R passa chez une de ses camarades, qui habitait au troisième étage, pour la soutenir, car la veille elle avait appris sa maladie. Le soir, se sentant en retard, elle avait descendu l’escalier en courant. Malheureusement elle avait glissé et était tombée la tête sur une marche. Le lendemain, les médecins lui annoncèrent qu’elle souffrait d’une paralysie partielle des membres inférieurs et avaient insisté en lui disant qu’elle devrait subir une intervention chirurgicale suivie de plusieurs mois de rééducation en kinésithérapie. C’était le seul moyen pour récupérer sa motricité.
Mademoiselle R était comme un oiseau qui veut s’émanciper de sa cage et regagner sa liberté, comme un poisson qui s’efforce de s’échapper des mains d’un pêcheur. Bien que les chances de réussite de l’opération chirurgicale fussent minimes, elle insista sur la pratiquer. Elle avait une volonté au-delà des limites de l’ordinaire et une personnalité charismatique capable de convaincre tous ceux qui s’y opposaient. Sa confiance lui donnait le courage de surmonter toutes ses douleurs. Elle était pleine d’espoir et d’enthousiasme. Son optimisme était optimum. Rien ne l’empêcherait de retrouver sa motricité. Elle était fière de sa décision.
Le jour de l’opération arriva. Le sourire accroché aux lèvres, elle éprouvait le désir ardent de marcher à nouveau. L’éclat de ses yeux révélé par les larmes qui coulaient sur ses joues reflétait son intention d’abandonner sa chaise roulante.
Quatre heures dans le bloc opératoire glacial passèrent comme quatre ans. Tous étaient inquiets. Certains faisaient les cents pas le long du couloir, d’autres priaient pour son prompt rétablissement. Finalement, la bonne nouvelle arriva, l’opération avait réussi.

S'il vous plaît, à propos des deux questions précédentes, pouvez vous me répondre ? Merci.




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