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Correction
Message de datchay91 posté le 25-07-2018 à 06:33:07 (S | E | F)
Bonsoir. Veuillez bien m'aider à corriger le texte suivant s'il vous plaît.

Le séjour en Amerique d'un Tchadien !

Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. Son seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amerique un jour. Il ne cessait de parler à sa directrice qui y partait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait, s'il le voulait bien, venir avec elle, en Amerique, quand elle se serait appretée. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un aviom en vole pour l'Amerique. Quand ils furent arrivés à l'aeroport et que l'avion eut atteri, Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amerique, continent dont tu as toujours rêvé de visiter. " et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il decouvre bien le continent. Mais celle-ci a rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait hâté et avait l'air d'aller quelque part, en bref, trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces americains que tu vois ne t'aideraient pas même s'ils te voyaient mourir du fait de leurs tâches. Je suis un Sénégalais et je m'appelle Boukar. J'y suis venu il y a presque deux ans et je suis domestique dans un auberge. Reste ici ! Je viendrai te chercher le soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot. " Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'amena à la maison. Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter à Boukar, lui disant : " Il y a une grande difference entre l'Amerique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis que, dans notre cher continent, le pays dont je viens en particulier, quelque soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quoi que soit la demande que tu avances, elle n'est jamais réjetée. Sous l'ombrage des arbres, il ya partout des veillards assis s'échangeant des histoires de jadis et qui sont très curieux et aimables. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnêté. A ta vue, toi l'étranger, ils coupent leurs discussions et se levent pour t'acceuillir et pour t'honnorer. Dans les rues du village, il y a des enfants qui jouent et courent tout en fesant rouler les pneus des voitures gâtées. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne sont souciants de rien. Les gens de tout âge se connaîssent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prêts à apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère.C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appreciera et t'admettra au restaurant. " Zandji répondit présent, et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler fort au point que Boukar fut intérrogé à son sujet quelques minutes plus tard. Patron : " Ce type là, qui est-il ? Le connaîs-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connaîs. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " Patron : " Non ! Mais c'est pour la première fois que je le voie ici. En verité, j'admire beaucoup son travail. En effet, dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, fit des richesses et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vecu en Amerique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui servit tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village. Aujourd'hui, Zandji est devenu une célébrité au Tchad.

Merci d'avance. A bientôt ! Cordialement Datchay91.

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Modifié par webmaster le 25-07-2018 15:02


Réponse : Correction de alicedupont651, postée le 26-07-2018 à 14:53:53 (S | E)
Bonjour,
Pour la correction vous pouvez utiliser Scribbr, Lien internet

Bon courage

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Modifié par alicedupont651 le 26-07-2018 14:54





Réponse : Correction de datchay91, postée le 27-07-2018 à 01:33:59 (S | E)
Bonsoir. J'aimerais qu'on me corrige en m'indiquant les erreurs que j'ai commises dans le texte, et non pas qu'on fasse le travail à ma place, je suis un apprenti qui a besoin d'ameliorer son niveau de langue en fesant de pareils excercises. Je vous prie de m'aider chers correcteurs. Je vous souhaite une excellente soirée. A bientôt !



Réponse : Correction de jij33, postée le 27-07-2018 à 10:11:21 (S | E)
Bonjour datchay91
Le conseil d'alicedupont651 n'a strictement rien à faire sur FrancaisFacile, qui est un site entièrement gratuit.

La longueur de votre récit nous fait hésiter à nous lancer dans le recensement des erreurs et les conseils pour les corriger. Un tel texte demande près de deux heures de travail, voire davantage. Soyez un peu patient : un membre s'en occupera quand il en aura le temps. À l'avenir, essayez d'envoyer des productions écrites plus courtes... N'oubliez pas que nous sommes tous bénévoles et avons aussi d'autres occupations ou centres d'intérêt que ce site .



Réponse : Correction de jij33, postée le 27-07-2018 à 15:53:31 (S | E)
Bonjour
Voici des propositions de correction pour une partie de votre texte. Merci de la corriger.
Le signe avant un mot indique qu'il manque un accent sur ce mot: Merci de corriger.
Noms et adjectifs de nationalité : voir surtout au-dessous du tableau Lien internet
Emmener, amener, etc. : Lien internet

Le séjour en Amerique (il manque un accent) d'un Tchadien ! (on ne ponctue pas les titres, sauf si le titre est interrogatif. Par exemple : Quel avenir pour la planète ?)

Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. Son (accord avec ambition? seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amerique un jour. Il ne cessait de parler (autre verbe) à sa directrice qui y partait (verbe aller) de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait, s'il le voulait bien (inutile :supprimer), venir avec elle, (pas de virgule et accent) en Amerique, quand elle se serait appretée (être prêt). Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un aviom (orthographe) en vole (on prend un vol pour ou on prend un avion pour : si on prend un avion en vol, c'est qu'il vole déjà ! Comment serait-ce possible ?) pour l'Amerique. Quand ils furent arrivés à l'aeroport et que l'avion eut atteri (mot formé sur "terre" : orthographe), Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amerique, continent dont (autre pronom relatif, COD) tu as toujours rêvé de visiter. " et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il decouvre bien le continent. Mais celle-ci (pronom personnel sujet, et non pronom démonstratif) a rapidement disparu (le verbe disparaître doit être au plus-que-parfait) sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait hâté (ne se dit pas ainsi : synonyme) et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui (ponctuation) à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces americains (ici c'est un nom propre, donc majuscule et ajouter l'accent) que tu vois ne t'aideraient pas (ponctuation)'même s'ils te voyaient mourir (ponctuation) du fait de leurs tâches. Je suis un (supprimer et enlever la majuscule, car ce n'est pas un nom, mais un adjectif) Sénégalais et je m'appelle Boukar. J'y (supprimer le pronom adverbial de lieu) suis venu (verbe arriver) il y a presque deux ans et je suis domestique (terme impropre : voir le sens de domestique ci-dessous) dans un (accord avec auberge) auberge. Reste ici ! Je viendrai te chercher le soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot. " Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'amena (autre verbe) à la maison chez lui..
Bonne correction.



Réponse : Correction de datchay91, postée le 28-07-2018 à 01:58:24 (S | E)
Le Séjour en Amérique d'un Tchadien

Bonsoir. D'accord, la prochaine fois, j'essayerai de ne pas abuser dans mes écrits. Merci de m'avoir fourni une correction. Je vous suis vraiment reconnaissant.

Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française.Sa seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amérique un jour. Il ne cessait de dire à sa directrice qui y allait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait venir avec elle en Amérique, quand elle serait prête. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un vol pour l'Amérique. Quand ils furent arrivés à l'aéroport et que l'avion eut atéri sur terre, Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amérique, continent que tu as toujours rêvé de visiter. " et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il découvre bien le continent. Mais elle avait rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait pressé et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui, à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces Américains que tu vois ne t'aideraient pas, même s'ils te voyaient mourir, du fait de leurs tâches. Je suis sénégalais et je m'appelle Boukar.Je suis arrivé il y a presque deux ans et je travaille dans une auberge. Reste ici ! Je viendrai te chercher le soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot. " Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena à la maison chez lui. A bientôt !



Réponse : Correction de jij33, postée le 28-07-2018 à 16:42:45 (S | E)
Bonjour
Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. (espace) Sa seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amérique un jour. Il ne cessait de dire à sa directrice qui y allait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait venir avec elle en Amérique (pour parcourir le continent, Amérique du Sud, Centrale et du Nord, il faudrait beaucoup de temps ! Vous auriez plutôt dû citer un pays particulier : Argentine ? Mexique ? Canada ? États-Unis ? La suite de votre texte permet d'imaginer qu'il s'agit des États-Unis, puisque vous parlez des Américains, et non des Argentins, des Canadiens, etc.) , quand elle serait prête. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un vol pour l'Amérique (remplacer par un nom de ville). Quand ils furent arrivés à l'aéroport et que l'avion eut atéri (vous aviez fait une faute d'orthographe sur ce mot ; vous en avez ajouté une seconde car vous n'avez pas compris ma remarque : le radical de terre fait partie du mot) sur terre (supprimer), Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amérique, continent que tu as toujours rêvé de visiter. " (placer les guillemets avant le point, partout dans le votre texte) et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il découvre bien le continent. Mais elle avait rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait pressé et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui, à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces Américains que tu vois ne t'aideraient pas, même s'ils te voyaient mourir, du fait de leurs tâches. Je suis sénégalais et je m'appelle Boukar. (espace) Je suis arrivé il y a presque deux ans et je travaille dans une auberge. Reste ici ! Je viendrai te chercher le (déterminant démonstratif) soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot. " Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena à la maison (j'avais barré ces mots : à la maison signifierait que c'est à la fois la maison de Boukar et celle de Zandji) chez lui.

(Suite)
1) Quelque : Lien internet
2) Lien internet
Les verbes en -aître prennent un accent circonflexe sur le i seulement devant un t.

Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter à Boukar, lui disant (inutile) : " Il y a une grande difference (accent) entre l'Amerique (accent) et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis que, dans (autre préposition) notre cher continent, le pays dont (autre pronom relatif, indiquant le lieu et précédé de d') je viens en particulier, quelque (orthographe : voir lien 1) soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quoi (autre mot : reportez-vous au même lien) que soit la demande que tu avances (supprimer et remplacer "la" par un déterminant possessif devant "demande"), elle n'est jamais réjetée (et cette fois, le mot contient un accent de trop !). Sous l'ombrage des arbres, il ya (inutile : supprimer) partout des veillards assis s'échangeant (à conjuguer au présent) des histoires de jadis et qui sont (supprimer les mots soulignés et placer les adjectifs qui suivent après "assis") très curieux et aimables. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnêté (ortho : il manque une syllabe). A ta vue, toi l'étranger, ils coupent leurs discussions et se levent (accent) pour t'acceuillir (orthographe) et pour t'honnorer. Dans les rues du village, il y a (supprimer) des enfants qui (supprimer) jouent et courent tout en fesant (orthographe) rouler les (déterminant indéfini) pneus des (remplacer par une préposition) voitures gâtées (ne convient pas : hors d'usage). Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne sont souciants (verbe se soucier) de rien. Les gens de tout âge se connaîssent (pas d'accent circonflexe : voir lien 2) se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prêts à apporter (à la forme pronominale) de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère.




Réponse : Correction de datchay91, postée le 29-07-2018 à 02:16:54 (S | E)
Bonsoir.
Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. Sa seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amérique un jour. Il ne cessait de dire à sa directrice qui y allait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait venir avec elle en États-Unis, quand elle serait prête. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un vol pour Etats-Unis. Quand ils furent arrivés à l'aéroport et que l'avion eut atterri, Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amérique, continent que tu as toujours rêvé de visiter ". et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il découvre bien le continent. Mais elle avait rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait pressé et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui, à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces Américains que tu vois ne t'aideraient pas, même s'ils te voyaient mourir, du fait de leurs tâches. Je suis sénégalais et je m'appelle Boukar. Je suis arrivé il y a presque deux ans et je travaille dans une auberge. Reste ici ! Je viendrai te chercherle ce soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot ". Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena chez lui.
Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter à Boukar : " Il y a une grande différence entre l'Amérique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis qu'en notre cher continent, le pays d'où je viens en particulier, quelles que soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quelle que soit ta demande, elle n'est jamais rejetée. Sous l'ombrage des arbres, partout des veillards assiss très curieux et aimables qui se s'echangent des histoires de jadis. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnétêté. A ta vue, toi l'étranger, ils coupent leurs discussions et se lévent pour t'accueillir et pour t'honnorer. Dans les rues du village, des enfants jouent et courent tout en faisant rouler des pneus appartenant aux voitures hors d'usage. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne se soucient de rien. Les gens de tout âge se connaissent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prêts à s'apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère.
Je vous souhaite une bonne soirée, jij33. C'est vraiment très gentil de votre part ! A bientôt !



Réponse : Correction de jij33, postée le 30-07-2018 à 00:17:58 (S | E)
Bonsoir

Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. Sa seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amérique un jour. Il ne cessait de dire à sa directrice qui y allait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait venir avec elle en (contraction de à + les) États-Unis, quand elle serait prête. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un vol pour (déterminant défini) Etats-Unis. Quand ils furent arrivés à l'aéroport et que l'avion eut atterri, Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amérique, continent que tu as toujours rêvé de visiter ". et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il découvre bien le continent. Mais elle avait rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait pressé et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui, à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces Américains que tu vois ne t'aideraient pas, même s'ils te voyaient mourir, du fait de leurs tâches. Je suis sénégalais et je m'appelle Boukar. Je suis arrivé il y a presque deux ans et je travaille dans une auberge (plutôt un restaurant). Reste ici ! Je viendrai te chercherle (supprimer le déterminant défini que vous avez accolé au verbe) ce soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot ". Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena chez lui.
Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter à Boukar : " Il y a une grande différence entre l'Amérique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis qu'en (autre préposition : on vit dans un pays, dans une ville, mais sur un continent) notre cher continent, le pays d'où je viens en particulier, quelles que soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quelle que soit ta demande, elle n'est jamais rejetée. Sous l'ombrage des arbres, partout des veillards assiss (orthographe) (virgule) curieux et aimables (virgule) qui se s' (supprimer) echangent (accent) des histoires de jadis. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnétêté (vérifier l'accentuation). A ta vue, toi l'étranger, ils coupent (mieux : arrêter) leurs discussions et se lévent (accentuation) pour t'accueillir et pour t'honnorer (orthographe). Dans les rues du village, des enfants jouent et courent tout en faisant rouler des pneus appartenant aux (préposition + déterminant indéfini) voitures hors d'usage. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne se soucient de rien. Les gens de tout âge se connaissent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prêts à s'apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère. C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça (incohérent : Zandji est chez Boukar en train de l'écouter : il n'est pas en train de travaillera), on t'appreciera (accent) et t'admettra au restaurant. " Zandji répondit présent (on ne lui a rien demandé, alors il ne peut rien répondre : toute la fin de ce texte manque de cohérence ; résumez-la, après avoir dit que Boukar propose à Zandji de le faire embaucher par son patron), et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler fort au point que Boukar fut intérrogé à son sujet quelques minutes plus tard. Patron : " Ce type là, qui est-il ? Le connaîs-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connaîs. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " Patron : " Non ! Mais c'est pour la première fois que je le voie ici. En verité, j'admire beaucoup son travail. En effet, dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, fit des richesses et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vecu en Amerique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui servit tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.



Réponse : Correction de datchay91, postée le 30-07-2018 à 04:43:18 (S | E)
Bonsoir jij33. Après avoir modifié mon texte, webmaster a coupé cette partie que je viens de réécrire. Et je ne sais pas pourquoi.


Zandji était un Tchadien travaillant dans une entreprise où il avait comme directrice Madame Clara, une Française. Sa seule ambition, dans la vie, était de visiter l'Amérique un jour. Il ne cessait de dire à sa directrice qui y allait de temps en temps à quel point lui aussi aimerait aller voir ce beau continent. Un jour, Madame Clara lui dit qu'il pourrait venir avec elle aux Etats-Unis, quand elle serait prête. Mais Zandji était impatient de partir. Un lundi matin, ils prirent un vol pour les Etats-Unis. Quand ils furent arrivés à l'aéroport et que l'avion eut atterri, Madame Clara dit à Zandji : " Nous voici arrivés en Amérique, continent que tu as toujours rêvé de visiter ". et elle prit un taxi et partit, le laissant tout seul devant ses bagages. Il aurait souhaité être avec sa directrice jusqu'à ce qu'il découvre bien le continent. Mais elle avait rapidement disparu sans même qu'il ait eu le temps de lui parler. Ne sachant où aller, chaque fois qu'il voyait des personnes passer dans la rue, il essayait de leur demander de l'aide mais n'arrivait pas à en obtenir. Tout le monde semblait pressé et avait l'air d'aller quelque part, en bref, chacun était trop occupé. Zandji perdit tout espoir de trouver de l'aide quand il vit un homme brun passer près de lui, à qui il expliqua sa situation et qui lui dit : " Tu as de la chance de m'avoir rencontré. Ces Américains que tu vois ne t'aideraient pas, même s'ils te voyaient mourir, du fait de leurs tâches. Je suis sénégalais et je m'appelle Boukar. Je suis arrivé il y a presque deux ans et je travaille dans un un restaurant. Reste ici ! Je viendrai techercher ce soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot ". Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena chez lui.
Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter à Boukar : " Il y a une grande différence entre l'Amérique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis qu'au Tchad, le pays d'où je viens, quelles que soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quelle que soit ta demande, elle n'est jamais rejetée. Sous l'ombrage des arbres, partout des veillards assis, curieux et aimables, qui s'échangent des histoires de jadis. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnetété. A ta vue, toi l'étranger, ils arrêtent leurs discussions et se lèvent pour t'accueillir et pour t'honorer. Dans les rues du village, des enfants jouent et courent tout en faisant rouler des pneus appartenant à des voitures hors d'usage. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne se soucient de rien. Les gens de tout âge se connaissent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prèts à s'apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère. Le lendemain, alors qu'ils prennaient leur petit déjeuner, Boukar dit à Zandji : " Veux-tu travailler : ? Et lui de répondre : " Oui, j'en veux bien ". Boukar dit : " C'est bien. Aujourd'hui, je vais t'emmener travailer avec moi dans un restaurant. Mais il faudrait tout d'abord savoir que, ici, aux Etats-Unis, on n'aime pas les paresseux. C'est pourquoi tu dois travailler vaillement et sans t'arrêter quand nous serons là-bas. Même si tu vois que le boulot est déjà terminé, garde-toi de t'asseoir et de rester immobile. Il faudrait bouger de temps en temps. C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appréciera et t'admettra au restaurant ". Zandji répondit présent, et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler fort au point que Boukar fut intérrogé son sujet quelques minutes plus tard. Patron : " Ce type là, qui est-il ? Le connais-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " Patron : " Non ! Mais c'est pour la première fois que je le voie ici. En verité, j'admire beaucoup son travail. En effet, dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, fit des richesses et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vecu en Amerique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui servit tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.

Bonne soirée !



Réponse : Correction de jij33, postée le 30-07-2018 à 07:24:27 (S | E)
Bonjour
Le début de votre texte étant correct, je traite maintenant seulement la fin.

Reste ici ! Je viendrai techercher (en deux mots) ce soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot (je ne vous fais pas remplacer "boulot" par "travail" car on peut admettre quelques mots familiers dans des paroles rapportées) ". Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena chez lui.
Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à raconter (mieux : expliquer) à Boukar : " Il y a une grande différence entre l'Amérique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis qu'au Tchad, le pays d'où je viens, quelles que soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quelle que soit ta demande, elle n'est jamais rejetée. Sous l'ombrage des arbres, partout des veillards assis, curieux et aimables, qui (supprimer : déjà signalé) s'échangent des histoires de jadis. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnetété (encore une faute d'accent ! Consultez enfin un dictionnaire Lien internet
. A ta vue, toi l'étranger, ils arrêtent leurs discussions et se lèvent pour t'accueillir et pour t'honorer. Dans les rues du village, des enfants jouent et courent tout en faisant rouler des pneus appartenant à des voitures hors d'usage. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne se soucient de rien. Les gens de tout âge se connaissent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prèts (autre accent) à s'apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère. Le lendemain, alors qu'ils prennaient (orthographe) leur petit déjeuner, Boukar dit à Zandji : " Veux-tu travailler : ? (supprimer les deux-points et fermer les guillemets) Et lui de répondre : " Oui, j'en (Pourquoi ce "en"? Le pronom personnel suffit) veux bien ". Boukar dit : " C'est bien. Aujourd'hui, je vais t'emmener travailer avec moi dans un restaurant. Mais il faudrait tout d'abord savoir que, ici, aux Etats-Unis, on n'aime pas les paresseux. C'est pourquoi tu dois travailler vaillement (orthographe) et sans t'arrêter quand nous serons là-bas. Même si tu vois que le boulot est déjà terminé, garde-toi de t'asseoir et de rester immobile. Il faudrait bouger de temps en temps (inutile). C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appréciera et t'admettra au restaurant ". Zandji répondit présent (n'a pas de sens ici. Remplacer par "accepter"), et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler fort (plutôt "efficacement') au point que Boukar fut intérrogé (un accent à supprimer et une préposition à ajouter) son sujet quelques minutes plus tard. (supprimer le point et faites de "patron" un complément d'agent de "fut interrogé")Patron : " Ce type là, qui est-il ? Le connais-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " Patron (c'est dans les dialogues de théâtre que l'on fait précéder les répliques du nom du personnage : jamais dans un récit) : " Non ! Mais c'est pour (supprimer les mots soulignés) la première fois que je le voie (orthographe) ici. En verité (accent), j'admire beaucoup son travail. En effet (supprimer), dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, fit des richesses (ne se dit pas: "devenir riche" conviendrait mieux, bien que ce ne soit pas en épluchant des légumes ni même en devenant serveur qu'on puisse faire fortune. Vous ne tenez pas compte du fait que Zandji n'a aucune formation dans le domaine de la restauration. Mais admettons !) et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vecu en Amerique (accent sur les deux mots soulignés), il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui servit (plutôt le verbe aider) tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.

J'gnore pourquoi la fin de votre texte a été supprimée ; c'est probablement dû à un problème rencontré par votre ordinateur. Quand le webmaster modifie un post, son nom apparaît au-dessous. En tout cas, votre texte est trop long ! Pitié pour les pauvres "correcteurs" ! . Ils passent des heures à essayer de vous faire améliorer votre écrit ! Bonne correction .



Réponse : Correction de datchay91, postée le 31-07-2018 à 02:21:39 (S | E)
Bonsoir jij33. Je suis vraiment désolé d'avoir écrit un texte si long et de vous avoir peiné. Mais il faudrait savoir que, sans vous, nous qui ne sommes pas de Francophones de naissance, ne pouvons pas progresser. Nous vous sommes tous reconnaissants et avons toujours besoin de votre aide pour apprendre à écrire et à parler le français correctement. Et nous ne saurions jamais vous remercier assez. Vous êtes vraiment tous devoués. Vous nous aidez sans rien en rétour.

Reste ici ! Je viendrai te chercher ce soir car, maintenant, j'ai hâte d'aller au boulot ". Comme prévu, Boukar vint chercher Zandji le soir et l'emmena chez lui.
Après s'être présenté et avoir mangé, Zandji commença à expliquer à Boukar : " Il y a une grande différence entre l'Amérique et l'Afrique. Ici, personne n'est libre, tandis qu'au Tchad, le pays d'où je viens, quelles que soient ta couleur de peau, ta nationalité, ta manière de t'habiller, en bref, d'où que tu sortes, quelle que soit ta demande, elle n'est jamais rejetée. Sous l'ombrage des arbres, partout des veillards assis, curieux et aimables, s'échangent des histoires de jadis. Leur longue vie leur a appris la sagesse et l'honnêteté.
A ta vue, toi l'étranger, ils arrêtent leurs discussions et se lèvent pour t'accueillir et pour t'honorer. Dans les rues du village, des enfants jouent et courent tout en faisant rouler des pneus appartenant à des voitures hors d'usage. Ce qui les rend plus joyeux, c'est qu'ils jouent en toute liberté et qu'ils ne se soucient de rien. Les gens de tout âge se connaissent, se respectent, s'entendent et s'aiment bien. Ils sont toujours prêts à s'apporter de l'aide les uns aux autres. Disons que tout le monde est frère. Le lendemain, alors qu'ils prenaient leur petit déjeuner, Boukar dit à Zandji : " Veux-tu travailler " ? Et lui de répondre : " Oui, je veux bien ". Boukar dit : " C'est bien. Aujourd'hui, je vais t'emmener travailer avec moi dans un restaurant. Mais il faudrait tout d'abord savoir que, ici, aux Etats-Unis, on n'aime pas les paresseux. C'est pourquoi tu dois travailler vaillemment et sans t'arrêter quand nous serons là-bas. Même si tu vois que le boulot est déjà terminé, garde-toi de t'asseoir et de rester immobile.. C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appréciera et t'admettra au restaurant ". Zandji accepta, et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler efficacement au point que Boukar fut interrogé à son sujet, quelques minutes plus tard, par son Patron : " Ce type là, qui est-il ? Le connais-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " : " Non ! Mais c'est la première fois que je le voies ici. En vérité, j'admire beaucoup son travail. Dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, devint riche et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vécu en Amérique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui aida tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.

Je vous souhaite une excellente soirée !



Réponse : Correction de jij33, postée le 01-08-2018 à 00:35:28 (S | E)
Bonjour
Conjugaison de voir : Lien internet


" [...] C'est bien. Aujourd'hui, je vais t'emmener travailer (orthographe) avec moi dans un (plutôt un déterminant démonstratif, puisqu'il s'agit du restaurant dans lequel travaille Boukar : nous le connaissons donc) restaurant. Mais il faudrait tout d'abord savoir que, ici, aux Etats-Unis, on n'aime pas les paresseux. C'est pourquoi tu dois travailler vaillemment (orthographe : vérifier) et sans t'arrêter quand nous serons là-bas. Même si tu vois que le boulot est déjà terminé, garde-toi de t'asseoir et de rester immobile.. (un seul point) C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appréciera et t'admettra au restaurant ". Zandji accepta, et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler efficacement au point que Boukar fut interrogé à son sujet, quelques minutes plus tard, par son Patron (pas de majuscule) : " Ce type (virgule)là, qui est-il ? Le connais-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " : " Non ! Mais c'est la première fois que je le voies (conjugaison du présent de l'indicatif ! Voir le lien ci-dessus) ici. En vérité, j'admire beaucoup son travail. Dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, devint riche et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vécu en Amérique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui aida tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.
Bonne correction.



Réponse : Correction de datchay91, postée le 01-08-2018 à 01:46:25 (S | E)
Bonsoir jij33. " [...] C'est bien. Aujourd'hui, je vais t'emmener travailler avec moi dans ce restaurant. Mais il faudrait tout d'abord savoir que, ici, aux Etats-Unis, on n'aime pas les paresseux. C'est pourquoi tu dois travailler sans faiblir et sans t'arrêter quand nous serons là-bas. Même si tu vois que le boulot est déjà terminé, garde-toi de t'asseoir et de rester immobile. C'est ainsi que, quand on te verra travailler comme ça, on t'appréciera et t'admettra au restaurant ". Zandji accepta, et ils partirent. Une fois qu'ils furent arrivés, Zandji se mit aussitôt à travailler efficacement au point que Boukar fut interrogé à son sujet, quelques minutes plus tard, par son patron : " Ce type, là, qui est-il ? Le connais-tu ? " Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " : " Non ! Mais c'est la première fois que je le vois ici. En vérité, j'admire beaucoup son travail. Dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu. " Zandji travailla des années, devint riche et retourna au Tchad. Si ce n'était pas l'amour de son pays, de sa famille et de ses amis et l'envie de raconter ce qu'il avait vu et vécu en Amérique, il n'en serait jamais revenu. Il créa une entreprise qui se développa rapidement et qui aida tant ses proches que ses amis à mener une vie aisée au village.

J'ai trouvé quelque part que, après les expressions, telles que : l'unique, le premier, le dernier, le subjonctif se trouvait. Exemple : Paul était la première et la dernière personne qu'elle ait aimée dans sa vie, ce qui n'est pas le cas dans " C'est la première fois que je le vois ici ". Merci de m'expliquer cela. A bientôt !



Réponse : Correction de jij33, postée le 01-08-2018 à 11:34:52 (S | E)
Bonjour
Quand il y a un seul verbe après les mots Le seul, l'unique, le premier, le dernier, on emploie l'indicatif : c'est la première fois que je viens ici, c'est la première fois que je pars en vacances. C'est le second verbe qui peut se mettre au subjonctif : Paul était (verbe 1 imparfait de l'indicatif) la première et la dernière personne qu'elle ait aimée ( verbe 2 : subjonctif passé) dans sa vie. Le subjonctif n'est d'ailleurs pas toujours obligatoire, comme vous le verrez dans ce Lien internet
On aurait pu dire Paul était la première et la dernière personne qu'elle avait aimée dans sa vie. Dans votre phrase "c'est la première fois que je le vois ici", il y a un seul verbe conjugué après "première".
Il reste une erreur de ponctuation dans votre texte : vous avez séparé deux répliques, l'une de Zandji, l'autre de Boukar, par le signe deux-points. Il aurait fallu utiliser un tiret.
Bonne continuation.



Réponse : Correction de datchay91, postée le 02-08-2018 à 01:38:53 (S | E)
Bonsoir jij33. Je vous sais vraiment gré de votre explication. Pourriez-vous me l'indiquer, l'erreur de ponctuation dans mon texte dont vous parlez ?



Réponse : Correction de alienor64, postée le 02-08-2018 à 10:50:05 (S | E)
Bonjour datchay91

Pour trouver la ponctuation incorrecte, il vous suffit de relire votre texte ; les indications de jij33 sont pourtant claires.
L'erreur se trouve dans ce passage ; à vous de la trouver et de la corriger :

Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? " : " Non ! Mais c'est la première fois que je le vois ici. En vérité, j'admire beaucoup son travail. Dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu.

Bonne journée





Réponse : Correction de datchay91, postée le 03-08-2018 à 02:59:15 (S | E)
Bonsoir.

Boukar répondit : " Oui, je le connais. A vrai dire, c'est un frère qui m'a accompagné. Y a-t-il un problème ? "
- Non ! Mais c'est la première fois que je le vois ici. En vérité, j'admire beaucoup son travail. Dis-lui que, s'il veut travailler dans mon restaurant, je n'ai pas de problème, qu'il soit le bienvenu.

Bonne soirée !



Réponse : Correction de jij33, postée le 03-08-2018 à 07:51:49 (S | E)
Bonjour datchay91
pour votre texte ! Concernant le dialogue, voici un document qui pourrait vous intéresser : Lien internet
Bonne continuation.



Réponse : Correction de datchay91, postée le 04-08-2018 à 01:22:36 (S | E)
Bonsoir jij33. Merci de tout cœur !



Réponse : Correction de jij33, postée le 04-08-2018 à 07:02:12 (S | E)
Avec plaisir, datchay91




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