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Message de gls posté le 09-02-2018 à 10:26:35 (S | E | F)
Bonjour mes amis
Pouvez- m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
De retour à la maison, un rassemblement de gens m’attira l’attention. Je m’en rapprochai, un jeune homme de vingt ans étendu sur le dos. Les yeux ouverts, un peu de sang jaillit de son nez. C’était une scène faisant mal au cœur. C’est qui cet homme ? Qui l’a tué ? Que sont ses parents ?... ce sont des questions circulaient entre les personnes qui étaient sur place. «  Il est mort de faim et de froid »    déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers la morgue. Une minute plus tard, tout le monde dispersa comme si rien n’était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste, je passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Une question qui me tortura la tête. Demain matin je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste du directeur. Je fis une enquête sur la vie de cet orphelin, il avait perdu ses parent quand il avait deux ans. Son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il avait décédé et laissa cet enfant tout seul à l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas une maison pour l’abriter contre le froid d’hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme d’autres enfants de son âge. Il n’avait ni les nouveaux habilles ni la nourriture, il mangea le reste du pain des autres. Il était privé de la tendresse. Tout le monde l’ignora. Il n’avait jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint s’installer en face d’une fenêtre en espérant de voir une fille splendide. Cette fille avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Ses longs cheveux et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu, il partit pour rejoindre son lit conçu de carton qui se trouvait dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de lui destiner un mot. Il hésita, comment une telle fille aussi belle que la lune pouvait aimer un vagabond comme moi. Dans une nuit glaciale, la fille n’avait pas ouvrit la fenêtre et il resta tout le temps attendre son apparition, ses yeux étaient fixés sur la fenêtre. Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères trouvèrent son corps rigide de froid.


Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 12:17:12 (S | E)
Bonjour gls

Lisez ceci sur les temps du récit : Lien internet
Lien internet



De retour( à remplacer par : gérondif de 'revenir')à la maison(à remplacer par : 'chez moi'), un rassemblement de gens m'attira l'attention(ce verbe n'est pas pronominal ; remplacez le déterminant élidé l' par un déterminant possessif). Je m’en rapprochai(autre verbe : enlevez le préfixe 're'),(autre ponctuation : point-virgule) un jeune homme de vingt ans (ici, conjuguez 'être' à l'imparfait)étendu sur le dos.(pas de point, mais virgule) Les yeux ouverts, un peu de sang jaillit(autre temps) de son nez. C’était une scène faisant(conjuguez ce verbe à l'imparfait, précédé d'un pronom relatif sujet) mal au cœur. C'est qui cet homme ?(forme interrogative incorrecte) Qui l’a tué ? Que(autre pronom interrogatif pour faire référence à une ou plusieurs personne) sont ses parents ?... ce sont des(enlever ; mettre déterminant démonstratif) questions circulaient entre les personnes qui étaient sur place(à remplacer par un adjectif). « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers la morgue(avant la morgue, il y a quand même l'étape de l'hôpital !). Une minute plus tard, tout le monde dispersa(ici, verbe pronominal) comme si rien n’était passé(verbe pronominal). Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire termina(ici, verbe pronominal) ici. Je regagnai la maison d’un air triste,(pas de virgule, mais conjonction de coordination. Enlevez le pronom personnel suivant, car inutile) je passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Une(déterminant démonstratif) question qui(enlever) me tortura la tête(enlever). Demain matin ( 'Demain' indique un futur ; or, la suite de la phrase indique une action située dans le passé par rapport au moment où vous écrivez et non dans le futur. Il faut donc écrire : 'Le lendemain matin') je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste (préposition) directeur. Je fis une enquête sur la vie de cet orphelin(jusqu'ici, nous ne savons pas encore s'il l'est ! Mettez un autre mot et c'est plus tard, après avoir lu la suite de l'histoire, que nous comprendrons qu'il est orphelin),(autre ponctuation : point) il avait perdu ses parent(accord) quand il avait deux ans.(point-virgule ; le mot suivant ne commencera donc pas par une majuscule)) Son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il avait décédé (erreur d'auxiliaire, mais conjuguez 'décéder' au passé simple) et laissa cet enfant tout seul à(autre préposition ayant le sens de 'à partir de', pour indiquer le début d'un fait, d'une action : ne recopiez pas cette indication) l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas une(préposition) maison pour l’abriter contre le froid d'( préposition sans l'élision suivie d'un déterminant élidé) hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme (ici, préposition marquant l'attribution) d' (déterminant défini) autres enfants de son âge. Il n’avait ni les(enlever) nouveaux habilles(orthographe) ni la(enlever) nourriture, il mangea(autre temps) le reste du pain des autres. Il était privé de la(enlever) tendresse. Tout le monde l’ignora(autre temps). Il n’avait jamais entré(le verbe 'entrer' se conjugue au temps composés avec un autre auxiliaire) dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint(autre temps) s’installer en face d’une fenêtre en espérant de(enlever) voir(mieux : 'apercevoir') une(déterminant défini) fille splendide . Cette fille(à enlever ainsi que le point. Mettez un pronom relatif sujet) avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Ses(déterminant défini) longs cheveux (ici, complément du nom précédé d'une préposition pour indiquer à qui appartiennent ces 'longs cheveux')) et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu(autre mot), il partit(autre temps) pour(enlever) rejoindre son lit conçu(enlever) de carton qui se trouvait(enlever) dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de(à enlever car 'oser' est un verbe transitif, donc suivi d'un COD sans préposition) lui destiner(autre verbe) un mot. Il hésita,(autre ponctuation) comment une telle(enlever) fille aussi belle que la lune pouvait(autre temps et autre mode) aimer un vagabond comme moi.(c'est une interrogation, donc, mettez le signe adéquat) Dans une nuit glaciale(enlever ; déterminant démonstratif devant le sujet 'nuit' suivi de l'adverbe 'là' avec un trait d'union entre les deux mots pour désigner un repère temporel. Conjuguez ensuite un verbe suivi de l' adjectif), (ici, conjonction de coordination qui marque une restriction) la fille n’avait pas ouvrit(erreur : conjuguez 'ouvrir' au plus-que-parfait) la fenêtre et il resta tout le temps (préposition) attendre son apparition, ses(déterminant défini) yeux étaient(enlever) fixés sur la fenêtre.(virgule) Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères(quelles passagères ? Le déterminant défini s'emploie devant un nom dont on a déjà parlé ; or, jusqu'ici, vous n' avez pas parlé de 'passagères'. De plus, ce mot désigne la ou les personnes qui empruntent un moyen de transport. Remplacez-le par un mot adapté au contexte) trouvèrent son corps rigide de froid.

Bonne correction



Réponse : Texte de gls, postée le 09-02-2018 à 13:29:02 (S | E)
bonsoir alienor et merci beaucoup.
En retour chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... ces questions circulaient entre les personnes qui étaient présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre dans la morgue. Une minute plus tard, tout le monde dispersa (ce verbe n'est prom. selon le dictionnaire ) comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste du directeur. Je fis une enquête sur la vie de cette victime innocente. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme le cas des autres enfants de son âge. Il n’avait ni les nouveaux habits ni la nourriture, il mangea le reste du pain des autres. Il était privé de la tendresse. Tout le monde l’ignora. Il n’avait jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint s’installer en face d’une fenêtre en espérant de voir une fille splendide. Cette fille avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Ses longs cheveux et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu, il partit pour rejoindre son lit conçu de carton qui se trouvait dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de lui destiner un mot. Il hésita, comment une telle fille aussi belle que la lune pouvait aimer un vagabond comme moi. Dans une nuit glaciale, la fille n’avait pas ouvrit la fenêtre et il resta tout le temps attendre son apparition, ses yeux étaient fixés sur la fenêtre. Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères trouvèrent son c
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Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 13:51:08 (S | E)
Bonjour gls

En retour(ce n'est pas le gérondif du verbe 'revenir') chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... cesmajuscule) questions circulaient entre les personnes qui étaient(enlever) présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre dans(autre préposition) la morgue. Une minute plus tard, tout le monde dispersa (ce verbe n'est prom. selon le dictionnaire Mais ici, il l'est, avec un sens réfléchi ! ) comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste du(préposition) directeur. Je fis une enquête sur la vie de cette victime innocente('cette victime innocente' est féminin. Pour éviter de changer les pronoms personnels et les déterminants qui suivent et qui sont au masculin, remplacez ce groupe de mot par un autre au masculin). Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme le cas des(à enlever ; préposition indiquant l'attribution suivi d'un déterminant défini) autres enfants de son âge. Il n’avait ni les(enlever : déjà signalé) nouveaux habits ni lla(enlever : déjà signalé) nourriture, il mangea(autre temps : déjà signalé) le reste du pain des autres. Il était privé de la(enlever : déjà signalé) tendresse. Tout le monde l’ignora. Il n’avait jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint s’installer en face d’une fenêtre en espérant de voir une fille splendide. Cette fille (de à : incorrect : lisez les indications dans la correction précédente) avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. ( A partir d'ici et jusqu'à la fin de ce texte, vous n'avez rien corrigé : lisez les indications déjà données et faites les corrections.) Ses longs cheveux et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu, il partit pour rejoindre son lit conçu de carton qui se trouvait dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de lui destiner un mot. Il hésita, comment une telle fille aussi belle que la lune pouvait aimer un vagabond comme moi. Dans une nuit glaciale, la fille n’avait pas ouvrit la fenêtre et il resta tout le temps attendre son apparition, ses yeux étaient fixés sur la fenêtre. Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères trouvèrent son corps rigide de froid.





Réponse : Texte de gls, postée le 09-02-2018 à 16:37:21 (S | E)
Bonjour alienor et merci beaucoup
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posait sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.

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Modifié par gls le 12-02-2018 10:17





Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 20:16:11 (S | E)
Bonsoir gls

Seules ne restent à faire que ces quelques corrections :

- Le lendemain matin, je l’avais posée(autre temps : imparfait (de narration) ) sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur.
- Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans(autre préposition 'à' pour cette expression : 'se retrouver à la rue') la rue
- en espérant(mieux : participe présent, précédé d'une virgule et non gérondif) aperçevoir(enlevez la cédille) la fille splendide

Il hésita (mieux : 'se demander' à conjuguer, sans point d'exclamation, mais avec deux points pour introduire un discours direct! comment(majuscule) une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi?(espace devant un point d'interrogation ; mettez ce discours direct entre guillemets) Cette nuit-là était glaciale tandis que(cette locution conjonctive ne convient pas ; mettez une conjonction de coordination marquant une restriction ou une objection) la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre.(pas de point, mais une virgule) Mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.





Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 10:38:08 (S | E)
Bonjour alienor et merci beaucoup.
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posais sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.

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Modifié par gls le 12-02-2018 10:57





Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 11:03:53 (S | E)

Bonjour gls

Une seule erreur !

'... je la posait(sujet 'je' ; conjuguez ce verbe, soit à l'imparfait (de narration), soit au passé simple ; cette erreur avait échappé à mon attention) sur la une d’un journal... '

Bonne journée



Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 11:37:28 (S | E)
bonjour alienor et merci
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posai sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.

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Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 13:48:34 (S | E)

Bonjour gls

Votre texte est à présent correct.

Bonne continuation



Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 15:14:44 (S | E)

alienor
bravo



Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 22:37:27 (S | E)

Avec plaisir, gls




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